Maya de Holygrande [Fiche Validée]

NOM : de Holygrande
PRENOM : Maya
AGE : 26 ans d’apparence, 34 ans en réalité.
ORIENTATION SEXUELLE: Bisexuelle, mais très peu attirée par les plaisirs de la chaire.
RACE: Vampire
GENEALOGIE
Père: Peter Hingson
Mère: Sophia Hingson
Frère et soeur: Aucun
Mari: James Holygrande
Enfant: Anne-Maria

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L’HISTORE DE VOTRE VIE :

Une enfance comme beaucoup. Des parents fortunés, qui exerçaient le métier de médecin et sa femme qui l’assistait. Une jeune fille qui se passionnait par les arts des sciences, voulant, un jour, marcher dans les traces, voir même rendre fières ses parents en les dépassant. Depuis toute petite elle a baigné dans le monde des sciences, depuis très jeune elle disait lors de banquets.

« Un jour, je serai scientifique. »

Cela faisait rire certains convives, d’autres étaient étonné de voir cette enfant le proclamer ainsi et ses parents en étaient fières, alors qu’elle ne faisait rien d’autre qu’étudier principalement. Elle s’appliquait dans ses leçons et faisait tout pour être, toujours, la meilleure.

A l’âge de quinze ans, déjà, elle prenait la place de sa mère pour assister son père au cabinet. Parfois, même, elle prenait la place de son père lorsque l’intervention était, ce que l’on appelle bénigne. Le sang ne l’effrayait point, voir même la passionnait presque. Le corps humain, le corps vivant, les fonctionnements et détours de ce dernier lui donnaient qu’une envie d’en savoir toujours plus. Et elle ne manquait aucune dissection de son père sur un être mort. Les effectuant que très rarement devant les réticences de son père. Elle ne daignait pas le contrarier et se pliait à ses ordres.

C’est dans cette même optique qu’à seize ans elle ne protesta pas, lorsqu’on lui présenta son futur mari. Un très bon partit qui avait suivit le parcours, professionnel, dirons-nous, de la jeune Maya avec impatience et avidité. Il n’avait manqué aucune de ses interventions, aussi courtes furent-elles lors de réunions des plus ennuyantes. Il la trouvait appétissante, elle soignait ses toilettes, intelligente, et d’un caractère si puissant qu’il avait envie de l’épouser seulement pour la rompre.

Quand à lui, outre qu’il était fortuné et qu’il pouvait lui offrir suffisamment d’espace et de matériel pour palier à sa soif de connaissance, elle ne lui trouvait aucun attrait. Il était bouffit, légèrement bedonnant, obtenait les femmes qu’il désirait en faisant miroiter sa fortune, quelque peu trop sûre de lui et au combien trop âgé pour elle. Sept ans d’écart c’était bien trop elle, le considérait, déjà, comme son père ou alors un de ses professeurs.

Les épousailles se passèrent sans grand événements. Bien entendu, il avait pris soin de tout organiser pour que chacun des invités voient quelle était l’étendue de sa richesse. Lors de la cérémonie, elle craignait, déjà, de devoir remplir son rôle de femme, cette homme le répugnant plus qu’autre chose.

Il la prit, sans son réel consentement, bien que c’était son devoir. Et elle ne pensait qu’à tout ce qu’il allait lui fournir pour mener à bien ses expériences. Il était devenu plus son bienfaiteur que son époux. Mais chacun y trouvait son compte.

Lui, lui demandant de réaliser certaines expérience et elle, en apprenant toujours plus sur ce qui faisait la vie et la mort. Elle remplissait, toujours sans aucun plaisir, son rôle d’épouse dans le lit conjugal et, au bout de cinq ans de mariage il n’avait, toujours pas, réussit à la soumettre à ses désirs ce qui la rendait d’avantage désirable à ses yeux.

Mais ce qui devait arriver, arriva. Il l’engrossa. Ce nouvel état de fait, ne la gêna pas plus que tant dans ces recherches. Ce qui la dérangeait le plus était que cet enfant aurait pour père un homme tel que lui. Elle enfanta neuf mois plus tard d’une petite fille qu’elle prénomma Anne-Maria en souvenir des ses aïeules.

Elle s’occupait de sa fille, mais continuait ses études. Lorsque sa fille fut assez grande, elle demanda à son mari d’engager une femme pour s’occuper de cette dernière afin qu’elle puisse s’occuper à son seul plaisir, de poursuivre ses expérience. Il accéda à sa demande.

Le lendemain, ce dernier lui amena, enfin lui fit amener, un homme attaché, pieds et poings liés qui avait le visage masqué. Ce dernier se débattait sans cesse. Elle se tourna vers son mari en colère.

« Pour qui vous prenez-vous? Je n’ai jamais accepté de réaliser des expériences sur des humains vivants, et non consentant, de toute évidence, c’est le cas. Alors laissez le partir sur le champs. »

Son mari éclata de rire.

« Sur des humains? Non, mais cette chose n’est pas un humain,, il s’agit d’un vampire. On m’a promis une forte somme si vous réaliser les expériences suivantes sur lui. »

Elle que les sbires de son mari enchainait le vampire au mur, James lui tendit un papier sur lequel était écrit plusieurs instructions. Elle tendit sa main vers son mari mais ne pris pas le papier et se contenta de le gifler. Ultime humiliation, c’est vrai, devant ses hommes en plus. Il l’attrapa par le menton la forçant à le regarder avec un sourire sadique, il lui murmura.

« C’est simple, c’est lui, ou votre fille, ma chère. »

« Vous êtes un monstre, c’est aussi votre enfant. »

Il éclata d’un rire sonore, et prit sa femme par la taille pour la coller à elle, il lui murmura à l’oreille.

« Je peux vous en faire d’autres, tant qu’il me plaira, vous vous êtes donnée à moi en devenant ma femme. Vous ne voudriez pas décevoir vos parents et les plonger dans une honte interminable par votre faute tout de même non? »

Elle se débâtit avec force et, l’ayant enfin lâchée, elle lui fit face.

« Je vous hais, vous me répugniez. »

« Je sais, mais, pour une fois, vous m’obéirez. »

D’un signe de main, il fit sortir ses hommes de la pièce, laissa tomber le papier au sol, et sa femme tomba à genoux à côté de se dernier, pleurant de tout son saoule. Sa fille, son enfant, son amour. Il ne pouvait pas. Et, elle, elle ne pouvait faire des expériences sur un être vivant, qu’il soit humain ou non.

D’ailleurs, ce derniers tentait de se débattre elle entendait ses chaines s’agiter. Elle sécha, doucement, ses larmes et vint face à lui, lui ôter ce qui cachait son visage. Il semblait très mal en point, mais ses yeux étaient d’une beauté invraisemblable. Il avait luté, sans l’ombre d’un doute. Il releva la tête et la regarda intensément.

« Détachez moi, je le tuerai ainsi, il ne pourra faire de mal à votre enfant. »

Elle répondit pas la négative lui expliquant que, tel qu’elle connaissait son mari, son enfant n’était déjà plus là, qu’il l’avait déjà confiée à certaines personnes et que si ces personnes n’avaient pas de nouvelles de lui durant un laps de temps ils la tueraient, sans doute, sans aucune pitié.

« Alors tuez moi et sauvez la. »

Elle ne pouvait s’y résoudre et, de plus elle devait effectuer d’autres expériences sur lui avant. Elle avait prévu de prendre son temps, un maximum possible. Alors qu’elle passait ses journées avec lui, elle se concentrait sur d’autres expériences, disant à son mari, à chaque fois, que vu qu’il s’agissait d’un vampire, il était moins aisé et plus lent de réaliser n’importe laquelle des expériences qu’il voulait.

Ce dernier n’était pas pressé et elle voyait sa fille une fois par semaine, seulement. Cette dernière grandissait et, elle se réjouissait qu’elle soit en âge d’être mariée à un homme qui la protégerait de son père.

En attendant, elle avait détaché le vampire qui lui avait juré de ne pas s’enfuir. Est-ce utile de vous dire que la promiscuité a permis à ses deux là de devenir plus que de parfaits inconnus mais bien des amants? Pour se protéger elle se débrouillait pour lui trouver du sang frais et, très rarement, quelques victimes qu’elle profitait pour examiner une fois mordues et mortes.

Cela faisait deux ans qu’il était enfermé et bien que la beauté de Maya ainsi que tout ce qu’elle lui apportait, lui suffisait, il n’en pouvait plus. De plus, il n’arrivait plus à voir l’être qu’il aimait souffrir de l’absence de son enfant. Enfin, il voulait, absolument, la garder à lui pour l’éternité.

« Tu es mon plus grand défaut. », lui murmura-t-elle alors qu’ils venaient de se donner l’un à l’autre.

« Et toi ma plus grande force. Sois mienne pour toujours, je t’en prie. » Elle se releva dans le plus simple appareil.

« Je suis déjà mariée… ».

Il la rejoind, se collant à son dos et posant ses mains sur ses épaules. Soufflant, doucement, dans son cou.

« Je ne te parle pas de cette union là, je te parle de celle-ci. », joignant le geste à la parole, il passa doucement ses dents sur la chaire de son cou sans la mordre. « Dis moi oui… », lui souffla-t-il.

Enivrée, éperdument amoureuse, elle s’entendit lui donner la réponse qu’il désirait tant. Quelques secondes plus tard, une forte douleur lui arracha un cri avant qu’elle ne perde connaissance.

A son réveille elle entendit des bruits de lutte. Couverte d’un drap elle se releva et vit son mari et son amant s’affronter en duel. Un duel sanglant et tous deux saignaient beaucoup. Malheureusement, son mari prenait le dessus et, alors qu’il allait donner l’estocade finale à son amant, elle se jeta sur ce dernier pour le protéger. Le coup ne fut pas porter, son mari le retient à temps.

« Je vous en prie. Laissez-le partir. Je vous serai dévouée mais laissez-le, par pitié. »

« Vous, ma femme éprise d’un monstre tel que lui! Ca faisait un moment que j’y songeais, sans y croire. Vous m’avez désobéis mais j’ignore ce qui vous ferai le plus mal. Tuer votre enfant, ou votre amant. »

Elle se jeta aux pieds de son mari.

« Ni l’un, ni l’autre. Si le sang d’une personne doit couler c’est le mien. Par pitié, épargnez-les et vous m’aurez autant que vous le désirez. Soyez clément, une fois dans votre vie. Rendez-moi fière de vous, je vous en prie. Je vous aimerai, je vous obéirais, vous serez heureux d’être mon mari, mais laissez les, par pitié. »

Il la regarda puis releva son regard sur le vampire.

« Partez, elle vous a épargné pendant suffisamment de temps. J’espère que cette séparation sera douloureuse pour vous deux, comme je souffre d’apprendre que ma femme s’offre à un autre. Un autre qui n’est, même pas, un homme. »

Il partit, comme on l’avait enjoint, et son mari, trop aveugle ne s’aperçût, même pas que sa femme était différente. Elle lui devint soumise, comme elle l’avait juré, elle lui obéissait comme jamais elle n’avait obéit à qui que ce soit.

Ce n’est que huit années plus tard que, ayant assisté au mariage de sa fille, elle décida de mettre fin au calvaire qu’elle subissait. De plus, elle était affamée. Elle mordit son mari, mais, par malchance, elle se fit voir par un des laquets de ce dernier. Elle emporta tout ce qu’elle put, dit au revoir à sa fille et, décida de tenter de trouver un place au sein des vampires qui eux, devraient pas la bannir et plutôt, l’accepter. Elle espérait qu’elle pourrait, toujours, exercer sa passion au sein de cette nouvelle entre guillemet famille. De plus elle avait appris énormément sur les vampire grâce à ses lectures mais aussi à son amant.

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DESCRIPTION PHYSIQUE : Du haut de son mètre septante Maya est très fine. Elle a une peau très douce et rien qu’en la regardant ceci est visible. Ses très sont fins et bien dessinés. Elle prend soin d’elle, c’est un fait. Ses cheveux sont, souvent tirés en arrières et retenus par une broches, les laissant, ainsi, tomber, tout de même sur ses épaules. Ses toilettes sont témoins d’un passé, et d’un présent vu les pécules qu’elle a mis de côté, d’une grande richesses. Elle se veulent belles et dans des matières aussi nobles que la soie. Elle ne laisse jamais trop voir son corps, tout au plus entrevoir sa poitrine qui est comme le reste de sa peau d’une blancheur lactée. Ses corsets marquent, habillement, sa taille fine et ses bijoux ornent avec harmonie un visage désiré par plusieurs hommes. Ses yeux sont d’un bleu profonds mais aussi glaçant lorsqu’elle n’apprécie pas la personne en face d’elle. Ses lèvres fines laissent, rarement, entrevoir un réel sourire, bien que ça lui arrive parfois. Elle sait mettre ce qu’il faut en valeur avec un maquillage discret mais approprié à chacune des occasions.

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE : Elle n’a pas sa langue dans sa poche. Loin de là. Si on l’importune, elle le dit, si elle trouve quelqu’un niais ou sot, elle le proclame. Autant dire qu’elle ne fait pas partie des femmes à qui l’on peut dire « sois belle et tais-toi.! », sans se ramasser une gifle. De par ses découvertes, ses études, son passé on peut dire qu’elle est intelligente. Elle se méfie de la gente masculine, d’autant plus ceux qui sont beaucoup trop sûres d’eux. Parfois elle pleura sur son passé, sur ses parents, sur sa fille. A noter qu’elle échange, tous les jours, avec sa fille. En quelques mots elle a, ce que l’on appelle un caractère bien trempé et elle se sent même capable de tenir tête au très grand Dracula si elle pense qu’il a tort. Elle ne craint pas la mort et serait prête à s’offrir pour une cause qu’elle penserait juste. Parfois, bien que ce soit rare, elle aime à envouter des hommes avec ses charmes juste pour tester ses atouts de séductions.

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RANG : Scientifique si c’est possible. Ca fait un moment que je travaille sur cette fiche mais avec l’arrivée de Veika, sais pas si ca fait pas, un peu beaucoup, de scientifiques.

POUVOIR : Elle ne le connait pas encore car elle chante très rarement et encore moins lorsqu’elle est accompagnée. Mais lorsqu’elle chante toute personne qui l’entend est, irrémédiablement attirée par elle. (Un peu comme les sirènes…)

ARMES : Une simple dague cachée dans la ceinture de ses jupons.

[Code complet] : Validée par Dracula.

Bonjour et bienvenue, charmante Maya !

Ta fiche est excellente, dis donc. Je ne trouve rien à y redire, j'ai beau chercher. Tu nous promets là de beaux RP.

Personnellement, je ne vois pas de problème à ce que tu sois scientifique, bien au contraire puisque ça colle parfaitement avec le profil de ton personnage. Il est prévu jusqu'à 5 scientifiques, donc à mon avis c'est bon. Voyons ce qu'en dit le Maître.

Si Fingal est content de ta fiche c'est qu'elle est belle et je confirme, elle est belle ^^. Sans aucun souci ta fiche est validée. De même je vois pas de problème pour que tu sois scientifique. Donc aucun problème fiche validée et bon RP .

Je te mets ton rang et t’incorpore dans ta race.

Bienvenue au labo donc, miss Holygrande.

Je te propose une rencontre au labo pour faire connaissance : ici.

Oulalalala une scientifique en plus, mais euuuuuh vous allez encore me torturer je suis sûr... Bah c'est pas grave je vous apporterais des proies toutes fraîches =D

Bon jeu et Bienvenue =)