Stewart Crowley [Fiche Validée]

NOM : Crowley
PRENOM : Stewart
AGE : 21 ans en apparence, presque 250 ans en âge réel
ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel
RACE: Lycan
GENEALOGIE :
Père : Jonathan Crowley
Mère : Leonora Parmigiani
Frère et soeur : 5 frères et 6 soeurs
Femme : -
Enfant : -
Autres : des descendants de ses frères et soeurs vivent toujours dans sa région d'origine, mais ils ne le connaissent pas


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L’HISTOIRE DE VOTRE VIE :

Stewart Crowley est né en 1512 dans le village de Wroxall, sur l'île de Wight, au sud de l'Angleterre. Son père Jonathan Crowley, un ancien marin, avait ramené de ses voyages une épouse italienne, Leonora - une prostituée de Rome. Stewart était leur 5e enfant, et leur 2e fils. De la marine, son père avait gardé l'habitude de boire beaucoup dans les tavernes des ports voisins ; et quand il était ivre, de violentes disputes éclataient avec son épouse. Il faut dire que Leonora ne s'était jamais vraiment habituée au climat et à la rudesse de la vie en Angleterre, et qu'elle n'avait jamais été acceptée par sa belle-famille et les habitants de Wroxall. Plusieurs fois, et en particulier peu de temps après la naissance de Stewart, elle avait voulu prendre un bateau et s'enfuir vers l'Italie avec ses enfants ; mais à chaque fois son mari l'avait rattrapée : il y avait toujours quelqu'un pour le prévenir... Stewart grandit donc dans une famille où la violence était une règle de survie. Car pour couronner le tout, ils étaient réduits à une grande misère, Jonathan ayant fini par tout perdre à force de boire. On disait même que sa femme avait repris son activité de prostituée en ville pour nourrir leurs enfants. Très jeune, il apprit ainsi à chaparder de la nourriture, à se montrer plus fort que ses frères et soeurs tout simplement pour survivre, leur prenant le moindre morceau de pain sans aucun scrupule. Il détestait cette vie et passait de longues heures dans la campagne, ou sur la plage à regarder les bateaux ; quelquefois, il traversait l'île et regardait la terre ferme, en se disant qu'un jour il partirait là-bas, de l'autre côté...

- Eté 1525 - Ile de Wight -

Ce jour arriva avec son 13e anniversaire. Il avait décidé de prendre la fuite et de tenter sa chance en Angleterre, loin de sa maudite île natale et de sa maudite famille. Il attendit que toute la maison soit endormie, et se sauva par une des fenêtres, avec un petit baluchon pour seul bagage - un morceau de pain, et quelques haillons de rechange. Il partit sans se retourner et traversa l'île jusqu'au rivage opposé, où il vola une barque de pêcheur pour gagner Portsmouth. Il avait un peu appris à naviguer avec un vieux pêcheur qui l'avait pris en amitié, mais la traversée fut plus difficile qu'il ne l'aurait cru et plusieurs fois il crut mourir noyé. Arrivé à Portsmouth, il partit aussitôt pour Southampton où il découvrit une triste vérité : sa mère, effectivement, vendait son corps dans les tavernes à marins... Il eut envie de la tuer tellement il se sentait humilié, mais il finit par se dire qu'elle ne valait pas la peine de risquer d'aller en prison. Mais il ne put rester à Southampton en sachant cela. Alors il reprit la route vers le nord ; Londres ne lui disait rien, il préféra aller à Bristol. En chemin, il vivait de petits vols ou de mendicité, selon les occasions et son humeur. Il était un adolescent en colère, prêt à tout pour échapper à la misère.

Une nuit qu'il campait au coeur d'une épaisse forêt, il entendit des bruits étranges et réalisa qu'il n'avait même pas une arme pour se défendre. Quelque chose semblait se déplacer autour de lui et l'observer. Il ne ferma pas l'oeil de la nuit, mais rien ne se passa, et au petit matin il reprit sa route. Mais la forêt était immense, et il dut y camper une nouvelle nuit. Les bruits recommencèrent. Il avait peur, mais il avait appris que pour écarter le danger, mieux valait attaquer le premier.

- Montre-toi, si t'es pas un lâche ! , cria-t-il en se levant, un bâton à la main. Aller, montre-toi au lieu d' te cacher dans les buissons ! T'as peur d'un gamin armé d'un simple bâton ?!

- Oh que non... Mais j'aime faire durer le plaisir... J'aime l'odeur de la peur...

Deux yeux luisaient dans l'obscurité, des yeux à glacer le sang d'effroi. La chose sortit des fourrés : ce n'était ni tout à fait un loup, ni tout à fait un homme... une mélange des deux, un homme-loup au pelage noir et blanc ! Il avait entendu les vieux raconter des histoires d'hommes-loups dévorant la nuit les imprudents, mais il n'aurait jamais pensé que cela existait vraiment. C'était sans doute une mauvaise farce, un brigand déguisé !

- Très drôle ! , s'exclama Stewart, même si en fait il avait quand même peur. Tu crois vraiment que j' vais avoir la trouille de ta vieille peau d' loup mitée ?!

- Ah ah ah ! , ricana la chose. On fait le malin, petit humain ? Et mes crocs ? Et mes griffes ? Ca ne te fait pas peur ?

- Non ! Je trouve pas ça drôle du tout, et ça m' fait pas peur ! Qu'est-ce tu veux ?

- Je te veux toi ! , murmura la créature qui en une fraction de seconde se trouva juste derrière lui. J'aime ton odeur, l'odeur de cette peur qui transpire par tous les pores de ta peau... Un peu maigrichon, mais tu feras l'affaire, tu m'as mis en appétit, et j'ai un appétit féroce !

La chose se rua soudain sur lui, plantant ses griffes dans sa chair. Stewart chercha à se débattre, à lui échapper, mais il avait trop de force. Il réussit quand même à attraper dans le feu un morceau de bois enflammé, mais déjà les crocs se refermaient sur sa gorge. Il ressentit une douleur atroce, et puis plus rien, le néant.

Le lendemain matin, quand il se réveilla, il trouva à côté de lui un moine d'un certain âge, aux cheveux sombres parsemés de blanc. Il se présenta sous le nom d'Aleister Stutton, et lui dit que désormais leurs destins étaient liés à jamais. Il lui expliqua ce qui venait de se passer, et les conséquences que cela aurait. Aleister était le chef d'une meute de Lycans des environs de Bristol et il l'emmena avec lui vers leur repaire, un vieux château féodal en ruines. Dans les semaines qui suivirent, Stewart découvrit les effets de sa nouvelle nature : il était devenu lui aussi un Lycan. Au fil des mois, il apprit à maîtriser cette nature et trouva un sens à sa colère... Il devint en moins d'une année l'un des plus redoutables guerriers de la meute, la fierté d'Aleister. Personne ne se méfiait d'un gamin de 13 ans ; mais ceux qui avaient le malheur de croiser son chemin le regrettaient amèrement : Stewart était sans aucune pitié et d'une grande cruauté, et en plus très rusé.

- Janvier 1535 - Repaire des Lycans de Bristol -

Dix années plus tard, Stewart était un brillant sous-officier de la meute de Bristol, responsable d'une section d'assassins ; il montrait un grand talent à éliminer les cibles les plus délicates, dans la plus grande discrétion : c'est ce qui lui avait valu cette nomination. Il avait choisi de cesser de vieillir à partir de l'âge de 21 ans ; c'était pour lui un symbole, celui de l'âge où l'on est enfin libre et en même temps encore assez jeune pour garder ses rêves intacts. Depuis quelques semaines, les vampires avaient infiltré la ville avec l'intention de s'y implanter solidement ; jusqu'à présent, la communauté vampire y était très réduite, mais à présent ils étaient de plus en plus nombreux. Aleister Stutton provoqua donc une réunion secrète des chefs et officiers lycans de la région afin de décider d'une action commune. Il fut décidé que les assassins seraient envoyés en première ligne pour éliminer les vampires les plus influents, puis qu'une attaque générale serait lancée.

La nuit convenue, Stewart Crowley se rendit en ville à la tête d'un petit groupe d'assassins. Ils parvinrent à tuer la plupart de leurs cibles, sauf une qui n'était pas au lieu indiqué par les espions. Au cours du dernier assassinat, ils capturèrent une jeune vampire effrayée qu'ils conduisirent au repaire de la meute. C'était une très belle jeune fille, qui ne ressemblait en rien aux vampires que Stewart avait rencontré jusque là. Il eut bientôt pitié d'elle, à moins qu'il ne se soit déjà agi d'autres sentiments... Toujours est-il qu'il lui apportait en cachette de quoi survivre et adoucir sa captivité. Et, malgré leurs différences, ils tombèrent amoureux l'un de l'autre ; une union contre nature qui remettait en question toutes leurs certitudes mais contre laquelle ils ne pouvaient lutter. Lui qui n'avait connu que le ressentiment et la haine, il découvrait l'amour ; mais le hasard avait voulu que ce soit avec une ennemie. Il apprit qu'on devait l'exécuter à l'occasion de la visite d'un grand chef lycan. Il ne pouvait l'accepter, même s'il était partagé entre cet amour et sa fidélité à la meute. Un soir que tout le monde au château fêtait une victoire sur les vampires, Stewart descendit aux cachots, libéra la belle et s'enfuit avec elle dans les bois, espérant gagner Londres.

- Tu ne devrais pas prendre tous ces risques pour moi, dit-elle les yeux remplis de larmes. S'ils nous rattrapent, ils vont te tuer. Notre amour n'est pas raisonnable, nous ne sommes pas faits pour vibre ensemble...

- Je n'ai pas peur de la mort ! Et je me fiche d'être raisonnable ! En dehors de la rencontre avec Aleister, tu es ce qui m'est arrivé de mieux dans toute ma vie... Ils ne nous rattraperont pas, de toute façon !

- Et si un jour l'un d'entre nous ne pouvait plus résister à sa véritable nature ? Tu y as songé ?

- Et bien, au moins nous aurons vécu une belle histoire... Tais-toi, maintenant, et dépêchons-nous. Pars devant, j'efface nos traces...

Mais au matin, on s'aperçut de leur disparition et l'alerte fut donnée. Les fugitifs n'allèrent pas bien loin et furent vite rattrapés. La jeune femme fut tuée sous les yeux de Stewart, qui se trouvait accusé du plus terrible crime qui soit : la trahison. Il fut battu et sauvagement torturé, mais Aleister ne put se résoudre à le mettre à mort. Il le fit donc marquer au fer rouge sur la poitrine du symbole des traîtres et décréta qu'il serait banni à vie. Ainsi Stewart Crowley se trouva-t-il chassé de sa meute, la seule vraie famille qu'il ai jamais connue, dans la honte et la douleur.

Suivirent plusieurs dizaines d'années d'errance au cours desquelles il crut devenir fou. Il en venait à maudire cette éternité à laquelle il avait accédé la nuit où il était devenu lycan. Il hantait les forêts, vivant toujours seul, ce qui pour un lycan est une chose terrible, pire encore que la mort. Il commettait des crimes barbares sur les paysans et les voyageurs, mais il alla si loin qu'une battue fut bientôt organisée contre ce qu'on appelait « la Bête ». Il dut fuir à nouveau, toujours plus loin, de forêt en forêt, de village en village.

- Octobre 1727 – Londres -

Un siècle et de nombreuses aventures plus tard, Stewart Crowley se trouvait à Londres. Il s'y était installé vers 1654, après avoir traversé une grande partie de l'Angleterre et obtenu le pardon de son maître, Aleister ; il l'avait revu à Canterbury, et appris avec une grande tristesse que la meute de Bristol avait été presque totalement anéantie.

- Mon fils, car malgré tout je peux encore t'appeler mon fils, avait dit Aleister, comme je suis heureux et triste à la fois de te revoir. Heureux que tu sois encore en vie. Mais triste au souvenir de notre meute de Bristol... Dans un sens, ton erreur t'a sauvé la vie. Seule une poignée d'entre nous a survécu. Et à présent les vampires sont les maîtres de Bristol et de toute sa région. Vas à Londres, et fais disparaître la marque d'infamie que nous t'avons infligée pour ta punition. Tu seras utile là-bas à ceux de notre race.

- Tu veux dire que...

- Oui, je t'ai pardonné depuis longtemps, mon fils. Vas, et poursuis ta route sans te retourner. Prends cette lettre, tu la présenteras de ma part à Marcus Spartacus, le chef des lycans de Londres.

Les temps avaient changé, et les vampires ne cessaient de gagner du terrain ; la plupart des villes importantes du pays tombaient sous leur contrôle et seules les campagnes étaient encore aux mains des lycans. Une guerre impitoyable entre les deux races ennemies commençait pour s'emparer de l'Angleterre toute entière, et le grand enjeu serait Londres. Aleister avait recommandé Stewart auprès de Marcus Spartacus et mis en avant ses talents d'assassin, se gardant de raconter l'erreur de jeunesse de la vampire. Le jeune homme, pour faire disparaître la marque d'infamie sur sa poitrine, s'était à nouveau brûlé avec un fer rougi. Cette fois, il n'y aurait pas d'autre chance, notre jeune lycan en était conscient. Il fit de son mieux pour servir dans les rangs des assassins de la meute de Londres, et une fois de plus son talent fut reconnu.

Puis, en cette année 1727, les vampires lancèrent sur Londres leur grande offensive, allant jusqu'à assassiner le Roy en personne. Le combat prenait une autre tournure. A leur tour, des lycans venus de tout le pays, et même du continent, se regroupèrent dans la capitale. La ville, livrée aux deux races infernales, sombrait dans le chaos et Stewart y prit une part très active. Il se montrait particulièrement impitoyable avec les vampires, comme pour expier sa faute passée ; ou peut-être pour combattre en lui-même des sentiments qu'il n'avait pu tout à fait oublier ? En tout cas, pas un jour ne se passait sans qu'il tue, c'était devenu comme une nécessité.

- 1758 – Londres -

Longtemps, malgré la satisfaction de ses supérieurs hiérarchiques, Stewart avait refusé de monter en grade. Mais quand Marcus Spartacus en personne lui offrit de former les nouvelles recrues, il ne put refuser ce poste. Il forma de nouvelles recrues aux techniques d'infiltration et d'élimination de cibles et permit à sa meute de disposer d'un corps d'élite dans ce domaine. Son rêve était de capturer et d'abattre un général vampire, et il ne cessait de chercher de nouvelles techniques permettant de neutraliser leurs pouvoirs et d'y parvenir.

Longtemps aussi, il avait refusé de s'installer en permanence dans le repaire des lycans londoniens. Il avait gardé des années d'errance un certain goût parfois de la solitude et avait vécu dans différents quartiers de la ville. Après sa nomination, il dut se résoudre à venir habiter au manoir. Au fond de lui, il espérait retrouver l'esprit familial de meute tel qu'il l'avait connu à Bristol, mais il restait méfiant et gardait ses distances.

Sa lame était au service des siens, et il ne pouvait imaginer que les lycans ne finiraient pas par l'emporter. Il faisait partie d'un petit groupe de lycans qui estimaient que leur race formait la race supérieure à laquelle tout était permis et promis. Pour eux, il fallait d'abord exterminer l'ennemi vampire, puis asservir définitivement tous les humains. Quant aux templiers, Stewart en avait assassiné plusieurs, dont il conservait la tête empaillée ; sa plus belle prise fut un templier de haut rang arrivant directement de Rome qu'il avait surpris alors qu'il débarquait à Douvres : il a fait fabriquer avec ses os des plaques sculptées pour orner son couteau.

Prenez garde si vous le rencontrez, il sera peut-être le signe que votre dernière heure est venue...


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DESCRIPTION PHYSIQUE :

Stewart a choisi de cesser de vieillir à partir de l'âge de 21 ans. Il avait alors un visage aux traits encore juvéniles, qui ne laissaient en rien deviner la noirceur de son âme et sa terrible cruauté. Presque un visage angélique, si ce n'est un regard étrange, deux grands yeux verts aux reflets d'or qui semblaient transpercer celui ou celle sur lequel ils s'attardaient. Ses cheveux bruns, depuis sa première transformation, sont parsemés de mèches blanches, à l'image du pelage de son maître et créateur. Il n'est pas très grand, mais les entraînements et exercices lui ont permis d'acquérir un corps vigoureux et une grande force, en particulier dans les bras et les jambes. Il a des épaules larges et un torse puissant. Sur sa poitrine, une large cicatrice de brûlure. Ses mains larges sont très agiles, capables d'effectuer des manipulations très rapides. Il passe pour avoir une certaine beauté, un charme particulier auquel tout le monde est sensible, les hommes aussi bien que les femmes ; évidemment, il en joue.

Quand il se transforme, il est un lycan tout en muscle et en souplesse, avec un pelage brun et blanc et des yeux d'un vert doré. Ses crocs sont particulièrement développés, mais sa particularité est qu'il lui manque le croc inférieur droit : il lui a été arraché en punition de son crime de traîtrise. Il prend soin d'aiguiser ses griffes avant chaque combat.
Ses vêtements sont le plus souvent sobres et de couleur sombre, ce qui est normal pour un assassin qui doit être le plus discret possible au cours de ses missions. Cependant, il aime aussi porter une veste garnie de brandebourgs qu'il a prise à un officier humain tué lors de l'une de ses missions.

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE :

Stewart a un caractère plutôt entier : il n'a pas l'habitude de se taire ou de mentir, quand il a quelque chose à dire il le dit sans détours, ce qui ne plaît pas toujours. Il est assez susceptible et ne se laisse pas marcher sur les pieds ; par contre, il n'est absolument pas rancunier, il trouve cela inutile. Ce qui ne veut pas dire qu'il oubliera facilement si vous lui jouez un mauvais tour. Il est assez ambigu dans ses rapports avec les autres lycans : à la fois il a besoin d'appartenir à un clan, à une meute ; et d'un autre côté il a besoin de moments de solitude et il est très méfiant, il ne se lie pas facilement. Il donne beaucoup d'importance aux valeurs de l'amitié, et quand on sait gagner sa confiance, il sera fidèle et toujours présent, dans les bons comme les mauvais moments. Avec le temps, il a appris à dompter sa colère et sa révolte, mais elles peuvent resurgir brutalement à la moindre occasion ; dans ce cas là, il vaut mieux ne pas se trouver dans les parages ! Il prend un grand plaisir à tuer, et souvent aussi à faire souffrir ; par jeu, il est capable de tourmenter une victime pendant des heures. Il est consciencieux dans son travail, appliqué et méthodique, et il a horreur de l'échec ; dans une mission, il ira jusqu'au bout, même s'il devait y laisser la vie. Avec les femmes, Stewart multiplie les conquêtes mais ne s'attache pas ; il aime séduire, il apprécie de prendre du plaisir, mais ne veut plus tomber amoureux : il dit que l'amour n'apporte que des ennuis. Il a d'ailleurs avec les femmes des manières plutôt brusques et n'est pas un amant tendre.

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RANG : Assassin (futur chef)
POUVOIR : il est capable de faire des bonds extraordinaires sans prendre d'élan
ARMES :
- un couteau de chasse à la lame très tranchante et au manche recouvert d'un décor sculpté sur de l'os humain
- un fil métallique souple qui lui sert dans ses missions à étrangler ses victimes

[Code complet] : validé par Dracula .

Je te souhaite la sur Lycans VS Vampires, en attendant que tu finisses ta fiche . N'hésites pas à te présenter dans la partie flood .

Merci. J'essaie de finir le plus rapidement possible.

J'irai faire un tour dans la partie flood, avec plaisir.

Re bonjour à toi . Très jolie fiche rien à dire, maintenant dans l’histoire il y’aurait une petite chose à modifier.

Guru était le précédent chef des assassins, mais le personnage a été abandonné et le compte repris par les admins, le personnage va donc être tué lors d’un combat, ici exactement. Alors est ce qu’il serait possible de dire que Stewart n’est qu’un simple assassin pour le moment, sous les ordres de Guru et lors de sa mort il prendra sa place ? Si cela ne te dérange pas.

Sinon tous le reste est parfait, encore un qui a succombé à l’amour interdit entre un vampire et un lycan :XD : c’est pas bien .

J’attend les modifications pour régler le problème que je t’ai cité, en attendant je cache le code qui est bon.

A bientôt.

PS : petit dernière chose comme ta fiche va être validée pourrais-tu faire la description de ta chambre ici, comme ça il me suffira juste de la mettre en place merci.

Désolé, je n'avais pas vu que le rang était occupé ; je modifie la fiche, pas de souci.

C'est mieux quand c'est interdit, les histoires impossibles j'aime bien

Je vais faire aussi la description de la chambre, d'accord.

Les modifications ont été apportée, ta fiche est donc validée. Je te mets ton rang et t'inscris dans la bonne race. Je crée aussi ta chambre.

Bon RP .

Bienvenue, Mr. Crowley.

Une bonne fiche, à encore des RP intéressants en perspective. Un seule petit regret, que tu n'aies pas plus parlé de son activité d'assassin, pourquoi il a choisi cette voie, etc. Mais bon, je chipote, je chipote.

Comme le dit Dracu', ça n'est pas bien de venir nous piquer nos vampirettes.

Pour la question concernant Guru, il faudrait peut-être le trucider d'ailleurs, Dracu'.

Merci.

Je dois abandonner mon personnage, désolé.
Je me suis arrangé pour finir les RP en cours et prévenir les joueurs avec lesquels ils avaient lieu.

C'est dommage Stewart =(
J'aimais bien ton personnage, t'excuse pas voyons.

Est-ce que ton avatar peut-être remis dans la liste des avatars libres ou tu reviendra pour reprendre ton personnage? Dans tout les cas je pense que l'on va mettre ta fiche dans les fiches archivés cela te convient? Bonne continuation dans la vrai vie, merci à toi de t'être inscrit. Si tu veux revenir la porte te seras toujours ouvertes Et merci à toi d'avoir eut la délicatesse de finir tes RPs et de prévenir. Merci beaucoup.