Lycans & Vampires
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 Shanyya De Médici [Validée]

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Shanyya De Médici
Lycan
Lycan
Shanyya De Médici


Nombre de messages : 42
Age : 34
Rang : Scientifique
Date d'inscription : 02/03/2010

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MessageSujet: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10Mar 2 Mar - 23:16

NOM : De Médici
PRENOM : Shanyya
AGE : 20 ans
ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuel
RACE: Lycan
GENEALOGIE
Père: Antonio De Médici
Mère: Farienté De Médici
Frère et soeur: 1 frère
Femme: /
Enfant: 1, mort à la naissance

++++++++

L’HISTOIRE DE VOTRE VIE :

Prologue.
Shanyya de Médici, voici comment cette enfant s'appellera
Et oui, à l'époque c'était ainsi, le père devait reconnaitre ses enfants pour que ceux-ci portent son nom. Étrange n'est-ce pas? Pourtant si l'enfant ressemble à ses parents comme deux gouttes d'eau, les parents ne peuvent le renier ; mais bon je ne vais pas refaire la "logique des hommes" et au liex de vous ennuyer avec des histoires idiotes, je vais vous assommer avec mon histoire.

Chapitre 1.
Je naquis un après-midi d'hiver, blanc et pur. Lorsque ma mère ressentit les premières douleurs de l'enfantement, elle était seule à la maison avec les domestiques ; mon père était parti régler une affaire urgente à Londres et il ne rentrerait que dans trois jours à cause de la neige qui bloquait les routes. Car nous n'habitions pas en ville, malgré notre noblesse, mais à la campagne car ma mère avait toujours eu la santé fragile. Enfin soit, cela me concerne, pas vous, donc je reprends mon histoire là ou je l'ai laissée. Ma mère mit des heures à me mettre au monde, et elle y parvint enfin au bout de 12 heures de travail intense ; et je pus pousser mon premier cri qui se transforma vite en pleurs : j'avais faim et je le faisais savoir à corps et à cris. Et enfin je sentis que quelqu'un me glissait une chose en bouche, le téton du sein de ma mère, et je me mis à téter avec bonheur, rassasiant ma faim avant de m'endormir dans les bras de ma mère. Trois jours plus tard, mon père revint et il fut ébahi devant mon joli minois tout frais de nouveau né. Mon père me prit dans ses bras et comme tout bon nouveau né qui se respecte, je souillais mes langes avec un grand soulagement, qui me fit soupirer de bien être tandis que mon père lui grimaçait en me tendant à ma gouvernante qui s'occupa de moi. Cette brave gouvernante s'occupa de moi pendant de longues années, surtout depuis que la santé de ma mère s'était dégradée.
Un jour, un homme se présenta à notre porte, je devais avoir quelque chose comme 15 ou 16 ans. Cet homme se disait médecin et faiseur de miracles, un faiseur de miracles avec la peau trop blanche, des canines pointues et des yeux froids, annonçant la mort plutôt que la vie. Mon père l'observa un long moment avant de lui dire.
- Va-t'en vampire, ici tu ne trouveras personnes pour te nourrir et encore moins sur ma famille, foi de templier maudit.
Je n'avais pas compris ce que mon père avait dit, mais je devinais que cette créature qui était venue frapper à notre porte n'était pas humaine, ou elle ne l'était plus depuis quelques temps déjà. J'étais assise sur les marches de l'escalier, dans l'ombre, quand je vis mon père se tendre et se tourner vers moi, il m'avait repérée et j'allais être sévèrement grondée pour l'avoir espionné. Mon père s'approcha de moi et effectivement je fus grondée très sévèrement, je devais à présent accompagner ma gouvernante dans ses rondes pour donner à manger aux pauvres ; c'était ma punition, moi qui vivait dans le luxe, du jour au lendemain je connus la misère de tous ces pauvres gens. Ce fut en côtoyant leur misère que je rencontrai mon fiancé, qui fit de moi ce que je suis.
C'était le soir et j'avais perdu ma gouvernante, elle était partie rejoindre un homme ; donc je me retrouvais toute seule dans une ruelle sordide avec pour seule guide la pleine lune qui éclairait mes pas avec bienveillance. J'avais toujours adulé cet astre brillant, qui resplendissait dans sa plénitude de pleine lune. Je me guidais à sa lumière, quand soudain un bruit derrière me fit me retourner : deux hommes me suivaient à une distance respectable, mais en pleine nuit, dans une ruelle pas du tout engageante et surtout au vu de leur regard ce n'étaient pas de simples promeneurs. Je pressais le pas et je les entendis, plus que je ne les vis, presser eux aussi le pas ; ils n'étaient décidément pas des promeneurs. Notre petit manège dura jusqu'au bout de la ruelle et, harassée de ce petit jeu, je me retournai et leur criai.
Que me voulez-vous! Je...je...je sais me battre!
L'un des deux hommes rit, il devait me prendre pour une sacrée farceuse, mais j'allais leur montrer de quel bois je me chauffais.
Et tu as vu ça, Henry ! La gueuse ose nous menacer, tu crois qu'on devrait la prendre au sérieux?
Bien sûr, et je vais lui prouver que je la prend très au sérieux.
Le Henry en question courut vers moi, et je me mis à courir en criant à l'aide ; ma petite menace n'avait pas porté ses fruits. Les deux hommes allaient me rattraper quand soudain, au détour d'une rue, je heurtai de plein fouet un homme qui avait une bonne tête de plus que moi et un corps svelte et musclé ; car il était torse nu comme si le froid de la nuit ne semblait pas le déranger. Il avait juste posé sa chemise sur son épaule. Il m'évita de tomber et me regarda avec stupeur avant de voir les deux hommes qui s'étaient arrêtés en l'observant, ne sachant comment réagir face à cet inconnu à la main si chaude posée sur mon bras pour me retenir. Il ne dit que deux mots en regardant les deux hommes.
Je vois...
Je ne comprenais pas ce qu'il voyait, mais bon, je n'allais pas cracher sur une aide salutaire et je le suppliai de m'aider, de me sauver la vie et mon honneur. L'homme me fit passer derrière lui et il se campa solidement devant mes agresseurs, qui se regardèrent et ricanèrent avant de sortir un couteau de leur ceinture de pantalon et de foncer sur mon sauveur, qui ne fit que soulever l'un des deux hommes par la taille et de la lancer droit devant lui avec une force incroyable ; j'étais tombée sur un monstre de force sauvage mais gracieuse, si projeter un homme dans les airs est gracieux. L'autre hésita un moment avant de tourner les talons et de fuir, abandonnant son compagnon à son triste sort. Mon sauveur se tourna vers moi et je me blottis contre le mur avec un regard farouche, un regard qui le fit rire aux larmes.
Ne me dites pas que vous me comparez à ces débris d'humanité, parce que j'en ai envoyer un dans les airs?
Je fis non de la tête, car si je me blottissais contre le mur c'était pour ne pas trembler face à cet homme, grand, fort et d'une beauté sauvage à en couper le souffle. Il avait des cheveux noirs lui tombant dans le dos, noués avec un lien de cuir, des yeux noisettes pailletés d'or, une bouche sensuelle et bien formée et une visage avenant, un visage qui donnait confiance et un sourire engageant. En plus son torse était musclé juste comme il le fallait, ni trop peu, ni trop ; et son corps aurait fait se pavaner toutes les femmes devant lui. Mais moi je cachais mes émotions et ce fut avec peine que je me dégageai de la surface rassurante du mur. Il haussa un sourcil dans une mimique adorable en me voyant trembler avant de me tendre sa chemise avec un sourire narquois.
Cela ne vous réchauffera peut-être pas beaucoup, mais au moins c'est déjà ça !
Je hochai la tête et je pris la chemise, la drapant autour de mes épaules comme un châle.
Puis-je savoir où vous habitez, afin que je puisse vous reconduire chez vous en toute quiétude?
Je lui dis où j'habitais et il me regarda avec étonnement avant de s'exclamer.
Mais vous habitez dans la campagne! Il nous faudrait au moins la moitié de la nuit pour y arriver. Comment êtes-vous venue?
En carriole. Mais ma gouvernante est partie avec un homme et je décidais de rentrer à pied chez moi dans un accès de rage.
L'homme soupira et secoua la tête en maugréant dans une langue que je ne connaissais pas. Il mit ensuite ses mains sur ses hanches et me regarda avant de dire.
Très bien, tu dormiras là où je loge, je prendrai le canapé, je te laisse le lit et demain matin nous prendrons une calèche pour te ramener chez toi. Le plus tôt serait le mieux, je ne veux pas être accusé d'avoir abusé de toi.
Il me prit la main et me conduisit chez lui, un appartement miteux mais qui conviendrait, en plus j'avais une totale confiance en lui. Pendant la nuit, je l'entendis sortir puis rentrer une petite heure plus tard et curieuse comme je l'étais je ne pus m'empêcher de jeter un œil par la porte entrouverte. Il était totalement nu et contemplait la nuit dehors, sans même se rhabiller pour ménager ma pudeur et celle de ses voisins, même si pour l'instant je me délectais du peu que je pouvais voir par l'entrebâillement de la porte. Il avait un corps de rêve, des fesses au galbe bien rond, elles devaient être douces au touché, de longues jambes musclées comme il fallait et surtout pas maigrichonnes, comme celles que je devinais sous les pantalons des garçons. J'essayais d'imaginer le devant, quand sa voix me fit sursauter.
Je ne pense pas que tes parents seraient très fiers de te voir me reluquer comme tu le fais.
Je faillis tomber en arrière de surprise en l'entendent me parler. Cet homme avait-il des yeux dans le dos?
Enfin, maintenant que tu as vu le derrière, autant passer à ce que j'ai devant.
Il allait se retourner et je me dépêchai de retourner dans mon lit, enfin le sien, poursuivie par son ricanement. Il m'avait tournée au ridicule, moi une gentille petite fille de bonne famille qui n'avait jamais vu comment est formé un homme, tandis que lui devait avoir vu de nombreuses femmes nues ; d'autres encore plus qui avaient dus se tordre de plaisir sous lui, frémissant de bonheur en sentant ses mains sur leur corps et finissant par un pur éclat de bonheur et de jouissance en sentant son machin en elles. Je me roulai en boule dans le lit, me torturant par ce que j'imaginais. De la nuit je rêvai que j'étais ces mêmes femmes et le matin me trouva harassée d'avoir fait des rêves érotiques toute la nuit. Lorsque je sortis de la chambre, il me regarda avec un regard narquois, allongé bien à son aise sur le canapé miteux, ses bras en dessous de sa tête et une couverture cachant sa nudité jusqu'à hauteur des hanches. Il avait dû entendre mes gémissements de plaisir toute la nuit, et apparemment il avait trouvé cela follement amusant. Il se leva en retenant la couverture d'une main tandis que de l'autre il la nouait autour de sa taille, ricanant en me voyant ma retourner ; puis ensuite il s'approcha de moi, sans que je m'en rende compte et il me fit sursauter en enroulant une mèche de mes cheveux autour de son doigt avant de souffler à mon oreille.
Aurais-je affaire à une jeune fille de bonne famille bien éduquée et attendant le mariage avant de jouir de la vie et des plaisirs qu'elle apporte?
J'étais complètement figée, n'osant plus faire un seul mouvement. Il lâcha ma mèche de cheveux et enroula ses bras autour de ma taille, me serrant contre lui avant de poser ses lèvres sur mon cou, me mordillant légèrement. Je n'osais plus respirer et je sentais une sensation étrange dans mon ventre ainsi qu'une certaine moiteur entre mes jambes, flageolantes et traîtresses en même temps. Soudain, ses mains bougèrent sur mon corps, remontant vers ma poitrine lentement et avec douceur, me faisant me cambrer et languir en attendant la caresse qui allait suivre. Mais elle ne vint jamais, il me relâcha avec un sourire avant de me planter là pour aller s'habiller tranquillement, me laissant seule brûlante de désir avec une profonde trahison au fond de mon cœur. J'allais m'asseoir dans le divan car les jambes ne me portaient plus. Quand il sortit de sa chambre, il me trouva assise sur le canapé, les joues encore rouges de ce qu'il m'avait fait ressentir.
Viens, une calèche nous attend dehors pour te ramener chez toi.
J'acquiesçais et je le suivis dans les escaliers qui nous fîmes déboucher dans un couloir où une porte se trouvait. Il ouvrit celle-ci et nous sortîmes prendre la calèche qui nous attendait devant le trottoir. Je montai la première et il monta ensuite à son tour, s'asseyant en face de moi, les bras croisés et le regarde rivé dehors. Il y a à peine une heure, il me faisait me torturer de désir pour lui, et là soudain il semblait distant, trop distant même et je ne pus que baisser misérablement les yeux ; je ne savais quoi lui dire ni même comment réagir et ce fut avec soulagement que je vis ma maison au loin : j'allais enfin reprendre le cour de ma vie. Mais j'étais loin de mes peines, car quand je descendis de la calèche, alors qu'elle était seulement arrêtée, je sentis que quelque chose n'allait pas. Personne n'était là pour m'accueillir et une odeur de fer traînait dans l'air, une odeur de sang, horrible et incongrue en cet endroit. Je courus dans la chambre de mes parents et lorsque j'ouvris la porte, je fus devant une scène de massacre. Mes parents gisaient dans leur lit, la gorge ouverte et le corps démantibulé avec une sauvagerie immonde. Je mis mes mains devant ma bouche avant de hurler et de m'effondrer contre le mur, me balançant d'avant en arrière en sanglotant. J'entendis un bruit de course dans le couloir et je vis l'homme qui m'avait sauvé le veille. Il observa le carnage avec détachement quand soudain il eut une grimace de rage, il gronda un seul mot, vampire. Je redressai la tête et je me souvins de ce qu'avait dit mon père il y a une semaine, il avait dit: "Va-t'en vampire, ici tu ne trouveras personne pour te nourrir et encore moins sur ma famille, foi de templier maudit". Je murmurais ces mots comme une prière et l'homme qui m'avait sauvé fut sur moi, écoutant ce que je disais. Il releva la tête et m'aida à me lever avant de presque me porter vers la sortie car je m'accrochais à tout ce qui passait sous ma main pour rester auprès de mes parents, hurlant qu'ils avaient droit à une sépulture décente. Mais il fit la sourde oreille à mes lamentations et il me poussa de force dans la calèche avant d'ordonner au cocher de nous conduire là d'où nous venions. Mais je ne voulais pas et lorsque nous arrivâmes enfin à destination, il dut me jeter sur son épaule, malgré que je le griffais jusqu'au sang, et il monta les escaliers tant bien que mal avant de pousser la porte d'un coup avec son épaule valide. Il me posa brusquement sur le canapé avant d'aller farfouiller dans sa chambre, il en revint avec des armes et d'autres vêtements qu'il me lança.
Vas te changer. Les vampires ressentent très bien l'odeur des gens et ils la reconnaissent toute leur vie, qui peut durer une éternité si le vampire se débrouille bien pour rester en vie
Je ne veux pas changer de vêtements!!!Je veux retrouver mes parents!!!
L'homme qui m'avait sauvé se redressa de toute sa taille avant de répondre à mes cris par d'autres cris.
Et bien va-t'en alors!!!Et va donc te faire dévorer par des monstres à visage humain!!!
Il me tourna le dos et rentra dans sa chambre en claquant la porte derrière lui avec assez de force pour la fissurer légèrement. Je n'allais pas partir et risquer de perdre la face avec cette provocation. Quand il sortit de sa chambre, calmé et changé, je ne lui jetai qu'un regard et lui en fit de même. Il alla s'asseoir à une table en réfléchissant avant de dire.
Je t'emmène chez les templiers maudits, ton père en faisait partie, ils sauront mieux s'occuper de toi que moi.
Je hochai la tête avant de replier mes genoux contre moi et de les entourer de mes bras, posant mon menton sur eux. La journée passa ainsi, longue et interminable, je finis même par m'endormir dans ma position. J'étais plongée dans un sommeil profond quand je sentis des bras me soulever avec douceur, des bras chauds et réconfortants, et je me blottis entre eux, contre une poitrine solide. J'ouvris des yeux lourds de sommeil et je reconnus l'homme qui m'avait sauvée ; cette fois il ne portait qu'un pantalon et il sentait l'odeur de dehors, il devait être allé prendre l'air. Je sentis le lit sous moi et je ne pus m'empêcher de le retenir, j'avais besoin de réconfort après ce qu'i s'était passé, et il le comprit bien. Mais il ne m'offrit pas le réconfort auquel je m'attendais, il me garda toute la nuit dans ses bras, en me berçant tendrement. Un autre en aurait profité mais pas lui, il n'était pas comme cela.
Le lendemain, je me réveillai dans ses bras, j'étais bien. En me redressant sur un coude je pus l'observer dormir, une mèche de ses cheveux lui tombait devant les yeux et il dormait sur le dos, la bouche légèrement entrouverte, il semblait si, enfantin, je ne voyais que ce mot. Soudain il ouvrit les yeux et je me reculai brusquement, mais il ne semblait pas me voir, il était encore endormit ; il avait dû ouvrir les yeux dans son rêve et en vrai il avait fait de même. Il s'agita brusquement en poussant des espèces de grognements rauques. Je dus le secouer pour le réveiller et il se redressa en sursaut, couvert de sueur et haletant, les yeux hagards. Il se passa une main sur le visage souffla de soulagement, en tremblant de tous ses membres. Je le regardai avant de passer le dos de ma main sur son visage avec inquiétude et j'obtiens comme réaction qu'il se serra contre moi avec force. Je fus désorientée de sa réaction, lui qui semblait si froid se serrait contre moi avec force en sanglotant et par réflex je refermais mes bras autour de lui, le serrant contre moi comme pour le protéger.
Chut, se n'était qu'un mauvais rêve.
Il mit plusieurs minutes avant de se calmer et de se redresser, des larmes s'accrochant encore à ses cils. Il les retira en se frottant les yeux et il s'assit sur ses genoux.
Merci mademoiselle
De rien, s'est tout à fait normale car s'est humain.
Il eut un sourire amer que je ne compris pas sur le cout, je ne le compris que bien plus tard.

Chapitre2.
Un peut plus tard, lors que j'avais enfin cédée à sa demande de changer de vêtements, et que nous étions en train de marcher vers une écurie j'eus le courage de lui demander son prénom. Il me regarda avant de me répondre.
En quoi mon prénom peut-il vous intéresser?
Et bien juste pour faire connaissance.
Il continua d'avancer et quand il arriva dans l'écurie, il s'occupa de son cheval en silence puis il daigna me répondre quand son cheval fut prêt.
Je m'appelle Mathew
Merci.
Il me jeta un regard interrogateur avant de lever les yeux au ciel et de secouer la tête, puis ensuite il sortit son cheval de l'écurie, monta dessus et me tendit la main pour que j'en fasse de même. Je fixais sa main tendue, jamais encore je n'étais montée sur un cheval et je devais m'avouer avoir légèrement peur, mais bon, quand il faut il faut. Je pris sa main et il me hissa sur son cheval, comme si je ne pesais rien. Tout de suite après je me mis à le serrer à lui faire mal, il me demanda même de desserrer mes bras et de me détendre, car son cheval ne supporte pas de sentir qu'une personne près de lui à peur, il ruera à tous les couts. Je n'avais pas envie de me faire mal en tombant alors je fis ce qu'il me dit et quand je fus calmée il fit avancer son cheval dans la rue au pas afin d'éviter les passants, qui se bougeaient quand même sur son passage. Nous arrivâmes aux portes de la ville et une celles-ci passées, il mit son cheval au trot et quand je fus bien habituée au trot il passa au galop, que je préférais au trot car on est moins ballotés en tous sens. La mâtinée passa à chevaucher et soudain je reconnus l'endroit, nous étions chez moi. Pourquoi m'avait-il conduit la? Tout simplement pour offrir une sépulture décente à mes parents, une sépulture qui nous pris une partie de l'après-midi, entre lui qui devait creuser un trou assez profond pour éviter les charognards et moi qui avait tenue à faire un linceul pour mes parents, sans oublier la prière pour recommander leur âme à Dieu. Le ciel commençait à se teinter de rouge, en hiver la nuit tombe vite, et je le sentis se tendre en voyant le soleil se coucher. Il regardait autour de lui, sa main sur la garde de son épée quand soudain un grand cri retentit dans les bois non loin de nous. Nous eûmes pas longtemps à attendre car un homme sortit de la forêt, je le reconnus au premier cout d'œil, s'était le médecin qui était venue soit-disant pour soigner ma mère, mais que mon père avait remballé en le traitant de vampire. L'homme se figea en nous voyant et ensuite, un sourire cruel étira ses lèvres. Mathew me fit descendre de cheval avant de descendre à son tour et me faire de nouveau monter sur son cheval, me disant de ne pas me retourner, qu'il me retrouverait mais que je devais trouver un endroit ou me réfugier pour la nuit. J'allais répliquer que je restait pour l'aider, après tout ce n'est qu'un homme qui se dressait face à nous, mais quand Mathew se tourna vers moi j'eus un hoquet de surprise. Ses yeux n'étaient plus noisette mais jeune comme ceux d'un animal sauvage. Figée par ce que je voyais je ne pus faire avancer le cheval et se fut son maitre qui dut lui donner une claque sur l'arrière train pour le faire "décoller" au galop, droit vers le nord. Alors que le cheval galopais toujours, je vis une ombre sur ma droite et une autre sur ma gauche quand soudain le hurlement d'un loup retenti derrière moi, la d'où je venais, suivit de grognements et puis plus rien, je devais être trop loin pour entendre les hurlements. Distrait par cella, une des deux ombres en profita pour sauter sur moi et me faire tomber de cheval, cheval qui se cabra et partit droit devant lui, sans même m'attendre. J'étais sonnée par la chute et l'une des deux ombres en profita pour se jeter sur moi, comme une bête sauvage. Grâce à la pleine lune je pus voire que s'était un humain, enfin d'humain cette chose n'en portais que le nom, car de sa bouche dépassait des canines effilées et pointues, des promesses de mort. La chose qui s'était jetée sur moi planta ses crocs dans ma gorge tandis que l'autre se jetais sur mon bras gauche, dans le but de faire subir à mon bras le même sort que ma gorge, mais soudain il décolla du sol et retomba sur le dos plusieurs mettre plus loin, tandis que son compagnon me lâchait pour fuir. Je levais les yeux et je vis un monstre, une véritable montagne de sauvagerie à l'état pure. Cette chose avait tous du loup, sauf qu'il se tenait debout sur ses pattes arrières et que son corps semblait humain, enfin il y ressemblait, un peut comme le croisement d'un homme avec un loup. Ma vue se brouilla et je sombrais dans l'inconscience, j'avais perdue beaucoup de sang, mais j'allais m'en remettre car sinon je ne serrais pas la à vous conter mon histoire.
J'avais l'impression de voler, même si mon esprit semblait plutôt se noyer et qu'il tentait par dessus tous de refaire surface. Il y parvint enfin et quand j'ouvris les yeux, je compris pourquoi j'avais l'impression de voler, Mathew me portait dans ses bras en regardant droit devant lui, il courait très vite, trop pour un être humain normale, mais je ne me posais pas de questions, se devait être l'irréel de cette nuit. Je sombrais de nouveau dans l'inconscience et quand je rouvris les yeux, j'étais allongée dans un lit avec le soleil qui entrait dans la chambre grâce à une fenêtre. Je me redressais avec précaution car j'avais mal à la tête à en mourir et ma gorge ainsi que mon bras me brûlaient atrocement. La prote s'ouvrit et Mathew entra, suivit d'une vieille femme portant un plateau de nourriture et un vieil homme courbé qui m'observa longuement avant de dire.
Cette jeune fille a eu de la chance que tu sois la, sinon elle serrait morte à l'heure qu'il est
J'ai fait ce que vous m'aviez enseigné, j'ai tué les vampires et sauver une de leur victime
Tu aurais pus attendre qu'elle se soie évanouie pour la sauver, sa t'aurais évité de devoir lui révéler ce que nous sommes.
Le vieil homme sortit et la femme posa son plateau sur mon lit tandis que Mathew s'asseyait sur un tabouret branlant. Je mangeais avec appétit et quand j'eus fini, je lui posais la question qui me brûlait les lèvres.
S'était toi la créature qui ressemble à un loup, n'est-ce pas?
Il hocha la tête avant de se lever et de m'expliquer ce qu'il était, un lycan, plus communément appelé loup-garou. Il m'expliqua aussi se qu'était les choses qui m'ont attaqués et la haine que les vampires et les lycans se vouent depuis le premier de leur race, il m'expliqua aussi le rôle des templier maudits, de mon père, et leur mission qui était de vaincre les lycans et les vampires, de les réduire à néants. Je l'écoutais avec attention avant d'écarter le plateau pour réfléchir, j'allais prendre une décision qui allait changer ma vie à jamais. Je lui posais la question qui me brûlait les lèvres.
Comment devenir un lycan?
Il faut être mordu par un lycan
Je vois...
Il me regarda avant de soupirer et de dire.
Être un loup-garou n'est pas facile tous les jours. Quand un lycan est jeune il peut causer de grand dégâts si il n'est pas encadré par un de ses ainés. Et ensuite la bête qu'il y a en chacun de nous peut nous forcer à la barbarie.
Il effleura ma joue de sa main en me disant.
Reste comme tu es.
Il était passé du vouvoiement au tutoiement, naturellement. Ensuite je ne sais pas comment les choses se sont passées mais nous étions en train de nous embrasser avec passion. Sa n'avait rien à voir avec ce qu'il m'avait fait subir il y a deux jours, peut être plus, s'était plus doux. Il me repoussa sur le lit et ses mains allèrent et vénèrent sur moi, me faisant l'otage d'un désir intense qui ne demandait qu'à être apaisé et...
Le lendemain je me réveillais dans ses bras, j'étais bien, il faisait chaud et je me sentais en sécurité dans ses bras. Il devint mon amant et mon entraineur, et moi je devins une tueuse implacable de vampire, une tueuse qui aimait se blottir contre son amant devant le feu et lire un livre. Cinq ans passèrent ainsi, sans que je m'en rende compte.

Chapitre 3.
Comme dit plus haut, cinq ans passèrent, à une vitesse incroyable. Mathew ne vieillissait pas et bientôt j'eus atteins l'âge de son corps. Et ce fut le début de la fin.
S'était une journée de mâtin normale, nous déjeunions quand soudain je me levais et j'allais rendre mon petit déjeuner dehors. Mathew me rejoignit et il s'appuya contre la chambranle de la porte, m'observant, tandis que dans le couloir la vieille femme nous observaient avant de lâcher.
Elle est enceinte.
Mathew leva les yeux au ciel avant de lui répliquer.
Un lycan ne peut avoir d'enfants
Ce sont les vampires qui ne peuvent avoir d'enfants.
Je levais les yeux vers Mathew avant de lui dire.
Je pense qu'elle a raison.
Il se figea avant de blanchir, il ne pensait pas pouvoir avoir d'enfant et je lui prouvais d'un cout le contraire. Puis soudain un grand visage éclaira son visage et il me souleva dans ses bras avant de me faire tourner. Je ris de son exubérance avant de lui dire quand il me déposa.
Encore heureux que ma nausée à vite passée, sinon je t'aurais vomie dessus
Effectivement, je n'aurais pas du te faire tourner ainsi dans mes bras. Et dès aujourd'hui fini pour toi de tuer des vampires et de prendre des risques inutiles qui pourraient te nuire, à toi et l'enfant.
J'allais répliquer mais il posa son doigt sur ma bouche pour me faire taire, me disant que lui aussi allait rester avec moi le temps que notre enfant pointe le bout de son nez. Il pointa le bout de son nez, mais il ne respira jamais.
S'était le soir et je caressais mon ventre dans lequel mon enfant se préparais pour la naissance, qui devait survenir dans le courant de la semaine. Quand soudain un bruit me fit sursauter, le bruit d'un objet qui tombe et qui casse, puis des cris et la vieille femme déboula dans ma chambre en me disant de fuir, que des vampire avaient envahis la maison, qu'ils avaient réussis à vaincre Mathew. Je me levais avec difficulté et au lieux d'obéir à la vieille femme, je sortis de la chambre et je me dirigeais vers les cris, qui venaient de la cuisine. Dans le couloir le vieil homme gisait sur le sol, la gorge béante comme pour mes parents, et quand j'ouvris la porte de la cuisine je vis le vampire qui se disait médecin, il n'avais pas vieillit en cinq ans. Mathew était allongé sur le sol et se tordait de douleur, le vampire ne dit qu'une seule chose, qui me fit frémir de rage.
Argent.
Les lycans sont allergiques à l'argent et souffrent à son contact. Mathew eut la force de lever les yeux vers moi et de me dire de fuir, de sauver ma peau et celle de notre enfant, il allait rajouter autre chose mais le vampire ne lui en laissa pas le temps et il abattit son épée sur Mathew, le décapitant. Je hurlais de douleur et de haine en voyant mon fiancé tuer pas un abjecte vampire et au moment ou j'allais me jeter sur le vampire, je sentis comme un craquement en moi et un liquide tiède s'échappa entre mes cuisses, j'allais accoucher. La vampire eut un sourire sadique et il s'approcha de moi, mais avant qu'il ne puisse m'attraper, la vieille femme me happa hors de la pièce et elle m'ordonna de fuir. Ensuite elle alla affronter les vampires malgré son grand âge. Je ne la revis jamais de ma vie et je perdis mon amant et mon enfant, un fils. Alors que je sentais la vie me quitter en même temps que mon sang, sur une route de terre, je vis les vampires qui arrivaient vers moi. Mais je mourus avant, mais une chose étrange se produisit. Alors que la vie me quittait, je sentis une douleur atroce dans ma poitrine, sans doutes due à l'accouchement, mais elle se propagea et bientôt j'eus l'impression que mes os allaient se détruire. La douleur continua puis une chape de brume noir sembla tomber sur moi, je n'étais plus maitre de mon propre corps, et je me vis réduire à néant les vampires qui avaient détruis ma vie dans un accès de rage. J'étais devenue comme Mathew, sans doutes avec notre union, ou étais-ce un héritage de notre enfant. Mais non, je me souvins qu'un jour en nous bagarrant, lui en lycan et moi en humaine, il m'avait griffée sans le faire exprès, j'étais enceinte à se moment la. Le bébé avait dut empêcher la transformation, et maintenant que je n'étais plus enceinte les gènes du lycan se réveillaient.
Quand les vampires furent mis en pièce je redevint humaine et je perdis connaissance, épuisé par la perte de ma famille. Ensuite que je revins à moi je me mis en route pour trouver les autres lycans et plus de 100 ans plus tard je les trouvais enfin. En chemin j'avais étudié les sciences et l'alchimie, j'étais devenue une scientifique même si une dague et l'épée de Mathew m'accompagnaient toujours. A présent j'ai atteins Londres ou les autres loups-garous vivent.

++++++++

DESCRIPTION PHYSIQUE : Shanyya à des longs cheveux auburn bouclés et des yeux verts mousse, avec une lueur sombre qui brille en eux. Elle est aussi fort pâle pour un lycan.
Elle n'est pas très grande, de corpulence normale, un corps dont on peut voir qu'il en a connut des armes et des heures éprouvantes. Elle est toujours habillée avec un corset noir avec de la dentelle, des gants qui remettent jusqu'à ses coudes plus ou moins, une longue jupe noire avec des entrelacs de nœuds et des bottes qui s'arrêtent un peut en dessous des genoux. Elle porte autour du cout un pendentif en forme de pentacle que lui a offert Mathew. Et une dernière chose, seule un observateur avertit peut voir qu'elle a porté la vie.
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE : Shanyya a était marqué par les couts dure de la vie, mais toujours elle s'en est relevé. On peut dire qu'elle a une âme de combattante, un caractère bien trempé, et surtout elle adore les enfants, elle ne peut leurs faire de mal, sans doutes parce qu'elle même a eu un enfant, même si il est mort à la naissance. Lorsqu'elle travaille elle peut faire preuve d'un grand calme et d'une patience d'ange. Ce qu'elle ne supporte s'est le manque de respect vis-à-vis des autres et les gens qui se croient plus hauts que les autres parce qu'ils sont bien nés ou parce qu'ils ont un grades élevés ou des amis puissants. Elle dit souvent que se n'est pas le titre qui fait la noblesse, mais le cœur et l'âme qui font la noblesse. Côté défauts, elle en a peut, si se n'est une grande maladresse, sauf quand elle combat, et qu'elle est très rancunière, avec le pardon difficile. Elle manque aussi de patience, sauf quand elle est très concentrée. Shanyya est aussi très têtue.

++++++++

RANG : Scientifique(si la place n'est pas prise)
POUVOIR : une intuition plus développée que la normale
ARMES : Une dague accroché par une ceinture à sa cuisse et une épée qu'elle garde caché dans un lieux secret.

[Code complet] : Validé par Fingal

Et voilà, désolé pour l'attente.


Dernière édition par Shanyya De Médici le Jeu 4 Mar - 23:15, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10Mer 3 Mar - 0:29

Bonjour ou bonsoir (dépend du pays ^^) et Bienvenue sur Lycans VS Vampires.

Tu avais fait une petit erreur (tu as récupéré deux fois le code de la fiche ^^) mais j'ai modifié Wink.

En attente que tu reviennes de ta douce Délire.
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Fingal Mc Cruimein
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MessageSujet: Re: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10Jeu 4 Mar - 14:11

Bienvenue, Shanyya ! Wink

Encore une très intéressante fiche, une belle imagination et bien écrite. Very Happy Juste deux petites remarques, si je peux me permettre :
- ton personnage manque un peu de défauts, il faudrait lui donner un peu de relief dans son caractère, à mon avis
- il faudra que tu te censures un peu dans les RP pour les scènes érotiques, suggérer plutôt que dire pour que ce ne soit pas trop "caliente" pour des yeux chastes Laughing
En dehors de cela, rien à redire et hâte de te retrouver en RP sur le forum.

Pour la validation, attendons la décision du Maître. Wink
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MessageSujet: Re: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10Jeu 4 Mar - 16:27

Re bonjour à toi.

Très jolie fiche, mais comme Fingal l'a dit, tu devras sous-entendre les scènes érotique dans tes RP. Ensuite pour les défauts il faudrait que tu en trouves au moins deux (ton personnage n’étant pas un ange Laughing ).

Dernière chose il faut que tu signe le règlement avant que ta fiche ne soit définitivement validée.

Fingal tu es aussi admin donc tu peux valider les fiches (d’ailleurs tu valideras celle-ci, une fois les modifications apportées).

PS : dernière petite chose, peux-tu trouver un avatar aux bonnes dimensions (tu peux en trouver dans la galerie d'avatars)

Donc *fiche en attente*
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MessageSujet: Re: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10Ven 5 Mar - 18:49

Bien, Maîîîîître... Smile

Eh bien tout me semble parfait, chère Shanyya, les modifications demandées ayant été apportées. En conséquence, je valide donc avec grand plaisir votre fiche. Vous voici selon votre demande Scientifique chez les Lycans.

Bon RP ! Wink
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MessageSujet: Re: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10Ven 5 Mar - 20:23

Merci beaucoup^^
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Dakimis
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MessageSujet: Re: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10Mer 28 Avr - 16:26

Avec du retard : Bienvenue Mademoiselle =)
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MessageSujet: Re: Shanyya De Médici [Validée]   Shanyya De Médici [Validée] Time10

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