Requiem [Terminé]

« Si vous auriez été sans cœur je serais sans doute mort car je ne doute pas de la puissance de votre épée qui vous anime. Dans la colère du dérangement de votre prière, j’aurais passé au fils de cette arme sans avoir pu m’exprimer. Malgré les apparences, vous n’avez pas un cœur de pierre qui bloquerait tout sentiment. Sans l’équilibre du monde, vous seriez déjà perdue, morte d’une manière peu commune. C’est à nous de maintenir l’équilibre, de même que la race que vous détester à un tel point. La colère vous guide comme moi par la sagesse de mes actions. Peut importe le but ou le rêve que vous avez, il y a une raison pour que vous restiez ici et refusez de partir. »

Dracula avait une telle influence sur elle qu’il commençait à craindre ce chef des vampires, notre père à tous. Tous lui étaient loyaux, parlant ainsi de ses 7 généraux dont une était présente devant lui. Géophal Valvady marcha au côté de la Colère sans transmettre une équivoque d’émotions pour ne pas la perturber d’avantage. Autant elle ne voulait pas se confier, autant qu’elle devait le faire à quelqu’un. Peut importait qui mais elle le lui faisait. Malgré ce qu’elle disait, une vague de confiance la poussait à dire son passé, à expliquer ce qu’elle ressentait.

"Je refuse de partir pour Dracula, il ma prit ma vie humaine pour m'en donner une autre immortel. Je lui suis reconnaissante, il ma sauver des Lycans également. De plus il a canaliser en moi un sentiment qui m'envahit, j'ai appris à manger, à respirer, à vivre avec ce sentiment tapis dans mon cœur. "

Dakimis eut un léger rire tout en souriant en coin:

"Je parle, je parle mais je ne me reconnais pas surtout en ce moment je ne sais plus qui je suis."

Elle le regarda:

"Et vous alors? Parler moi un peu de vous Mr le sage!"

Elle rigola pour le taquiner

Bizarrement, il sourit lui aussi en entendant le surnom qu’elle lui donna. Plusieurs fois on l’avait appelé ainsi pour ses raisonnements qui mettaient le doutes dans les esprits et faisaient réfléchir à un tel point que les Vampires restaient sans rien faire un moment.

« Je vais et viens dans ce monde en menant maints combats aux côtés des plus grands chefs que notre race porte aujourd’hui. Je suis le Sage qui va au combat. On aimerait bien me laisser derrière mais je réussi toujours à convaincre plus de monde de se rangé du côté de la bataille. Je manipule les émotions et je permets de faire en sortes que quelqu’un, quel qu’il soit, de le mettre au combat et qu’il hait les Lycans. »

Son sourire s’évanoui encore une fois pour laisser son visage de poupée de porcelaine reprendre le dessus. La force de son bonheur à parler de lui-même se sentait comme si une aura vaguait autour. Il reprit le contrôle et garda son sérieux.

« Je crois vous avoir tout dit à présent. Malgré que mon long passé soit rempli de détail, il n’est point important que je vous en nomme les malheurs de ses histoires. »

Un sentiment oublier envahissais le cœur de la vampire, elle le regarda, elle sourit et dit une larme au coin de l'œil:

"Ce sentiment... Vous étiez heureux n'est-ce pas? Ce sentiments, je ne l'avais pas ressentit depuis... Depuis que ma mère, ma prise dans ses bras pour la dernière fois."

Puis Geophal se calma et se reprit en main. Le sentiment qui l'avait envahit repartit aussi vite qu'il était arriver, elle se ressaisis également. Et sentit la lourdeur de la colère encore en elle, colère qui recommençait à faire surface en repensant aux corps de ses frères, sa maison en feu... Elle tapa contre un murs faisant un trou puis s'excusa;

"Excuse moi, j'ai repenser à ma nuit de ma création et sa à tendances à faire remonter ma colère."

Pourquoi elle s'excusait, pourquoi elle se justifiait devant ce vampire inconnu au visage inexpressifs.

Valvady regarda la Vampire verser une larme puis rejouer avec la colère pour finalement brisé le mur le plus proche.

«Je suis désolé de vous avoir influencé.»

Il s’arrêta également et regarda la puissance dont la Vampire avait utilisé pour faire le trou. Une puissance incontrôlable et meurtrière qui doit faire trembler l’ennemie et ses alliés. Il passa ses doigts blancs de mannequins sur les contours.

«Vous avez un passé malheureux qui conduit votre voix dans ce monde. Vous avez une puissance extraordinaire je dois le remarquer.»

Il se redressa et contempla Dakimis de ses yeux rouges sans émotions. Sa présence devait être curieuse car elle s’excusait et lui parlait ouvertement alors qu’elle disait ne point le faire. Peut-être que son apparence de poupée et de son manque de sentiment et de présence lui faisait penser à une ancienne petite amie dont toute les petites filles avaient quand elles étaient petites, qu’importe l’époque.

Malgré la puissance de son attaque et son sentiment de colère et de guerrière, Dakimis était une simple Vampire immortelle, coincé dans son sort éternel. Plusieurs avait atteint ce but. Elle seule pourrait enfin s’en sortir. Mais son caractère la limitait.

"Vous n'avez point à vous excusez. C'est plutôt à moi d'habitude j'arrive à mieux me contrôler."

Dakimis le vit toucher les rebords du trou, il semblait intriguer:

"Généralement les Généraux de la colère son maudits tout du moins ceux qui sont comme moi et qui n'arrive pas à ce contrôler. Nous pouvons même tuer des êtres chères à notre cœur sous l'effet de ce sentiment."

Elle s'asseya tout en soupirant bruyamment:

"Ah la la c'est bien dure d'être immortel quoi que si je voulais je pourrais vivre pleinement et tranquillement cette vie. Mais je me l'interdis, j'estime qu'une personne comme moi ne devrait pas connaitre le bonheur. Cela fait plus de 100 ans que l'ont m'"éduque" ainsi. Un général de doit rien demander pour ne rien recevoir et décliner tout offre. Après je ne sais pas si cela es vrai pour les autres mais cela est vrais pour moi. Ma puissance réside dans la colère. Si je me calme je devient un vampire inoffensifs..."

Le visage blanc de Géophal, l'intriguait de plus en plus, elle n'avait jamais vu de vampire aussi pâle et cela lui faisait bizarre.

« Vous avez raison. »

Valvady se renferma car il était un être de pure émotion qui ne devait rien laisser paraître car la mort des autres pourraient être fatale car tout était mental et par le corps. La peur, le doute, l’amour, la tristesse et la joie était les plus durs et pourtant il ne se pouvait pas de les ressentir. Un être sans âme ne peut être aimé de quelqu’un.

« Le fait que nous nous parlions ce soir remonte alors d’un miracle puisque vous ne pouvez point vous affirmer indéfiniment et vous cherchez. Moi je suis quelqu’un qui manipule et ne peux pas me laisser emporter. J’ignore comment cela ce peut. »

Il la laissa le regarder car sa peau était d’une précieuse couleur qui ne lui permettait pas d’approcher les humains en tant normal. Il chassait les solitaires avec une sagesse peut commune. Sa vie ne tournait que sur son habileté, son pouvoir et son manque de personnalité flagrante.

« Vous avez ressentit mon pouvoir mais je ne distingue pas le vôtre. Serais-ce la colère qui conduit vos pas ou vous possédez un autre don? Vous n’êtes pas obliger de répondre mais je préfère savoir à qui je m’adresse et surtout avec qui je combattrai si tel est le cas. »

"Mon pouvoir ne ce sens pas en effet, je suis métamorphe, il est donc normal pour moi de cacher les odeurs d'animaux étant donner que quand je suis transformer on ne peut sentir mon odeur. Pouvoir pas très puissant mais utile pour espionner ou disparaitre dans le décors mais vous pensez bien que mes capacités sont limiter. Malgré tout je peux rester indéfiniment ainsi bien que cela me puise beaucoup d'énergie je peux rester au moins une journée dans me nourrir et bien sûr rester sous le soleil un temps limiter certes mais cela me permet de rester un peu plus longtemps dans Londres."

Dakimis approcha sa main et toucha la joue de Geophal:

"Ta peau n'est pas si froide, malgré ta pâleur on sent tout de même une once de chaleur. Je sens aussi que tu te bats en ce moment pour combattre tes sentiments."

Elle enleva sa main et dit:

"J'aimerais sincèrement t'aider mais je ne sais pas comment faire pour te soulager ne serais-ce qu'un peu. Nous nous ressemblions en quelques sortes, tu ne ressens pas les choses de peur d'influencer les gens et je ne m'autorise pas à ressentir les choses car je deviendrais "inoffensifs""

Elle sourit:

"Étrange coïncidences, mais je ne crois pas dans les coïncidences, notre destin est tracer et nous allons droit dedans. Miracle? Autant que sa?"

Dakimis se mit à rigoler, avant de reprendre son sérieux:

"Je ne pense pas que nous nous affronterions un jour, sauf si vous me croisez et que je suis en colère et il sera facile de me troubler alors..."

Il laissa Dakimis le toucher ne serait-ce qu’au visage. Il la regarda dans les yeux à ce moment et elle y vu le mélange de couleur dans ses yeux qui restaient pourtant rouge orangé. Lorsqu’elle parla d’un affrontement direct, il lui répondit :

« Vous seriez aussi calme qu’un lycan qui oserait m’attaquer seul. Je suis hélas un fléau et un allié puissant. Ne pensé jamais de me proposer un duel car jamais je n’accepterais. »

Il resta immobile un instant et cessa de marcher plongé dans une petite méditation les yeux ouverts. Une étrange vision de ce vampire s’offrait.

« Non, le miracle n’existe plus pour nous. Le dieu des dieux nous a abandonné dans un but précis que nous cherchons encore la signification de nos pouvoirs et notre immortalité. Sauvez les humains de leur cupidité? Alors pourquoi sont-ils notre nourriture… »

Géophal faisait parti de ceux qui cherchaient une signification à leur vie et l’existence des Lycans. Rien n’est fait pour rien. Peut-être pour étouffer l’esprit de vengeance de Dracula contre Marcus?

Ses yeux, ils expriment tellement d'émotion, elle comprit alors la puissance de ce pouvoirs, il pouvait troubler une personne, même un vampire mais est-ce qu'il pourrait dompter Dakimis?

"Un fléau? Pourquoi seriez-vous un fléau? Allié je veux bien mais fléau est un bien grand mot! Peut-être le serait je en effet ou pas... QUand je me met en colère rien ne m'arrête malheureusement..."

Dakimis aimait de plus en plus la réflexion de ce nouveau Vampire, il cherchait l'essence même des races qui s'affrontent. Quête perdu d'avance selon Dakimis:

"Nous sommes donc d'accord sur ce point là, il n'y a pas de miracle dans ce monde, certains pense que notre race tient du miracle, les lycans pensent la même chose de nous mais les humains pensent que nous sommes des fléau et que les templiers maudits sont des miracles. Je considère plutôt les lycans et les vampires comme des abomination de la nature..."

Le mot était fort mais Dakimis pensait vraiment à cela, créatures de l'ombre qui ne mériterait d'exister. Mais après tout que serait le monde sans ses créatures surnaturelle? Tant de questions sans réponse:

"Nous ne pourrons jamais répondre aux questions que nous nous posons tout les deux, il faudrait interroger le comte et je ne sais même pas si il les aura toutes... Tellement compliqué, il y a tellement d'ombre mais comment réagirais la race si nous connaissons ses ombres?"

Elle dit un sourire au coin :

"Il vaut mieux des fois ne pas savoir la vériter..."

Géophal resta encore de glace sans bouger, le contact de la main de Dakimis était encore imprégné dans les ports de sa peau de Vampire. Il regardait sans voir, plongé au plus profond de ses pensés qui revenaient souvent sans trouver leur réponse dans cet univers mystérieux.

« La Vérité est la Véracité de nos Verbes et elle seule devrait sortir Victorieuse de nos Voix. Nous sommes tous Victimes de nos actions Vagabondes et en Vérité, je Vous le dis, nos actions et nos Valeurs ne sont en aucun points Vaines. »

Ces phrases de ‘’V’’ était un peu spéciale à entendre mais avait une vague idéologie de la vérité. Ainsi voyait-il les vampires avec un rôle important, celui de protéger les humains comme les humains le faisaient avec les animaux en voie de disparition?

« Voici donc ma Virtuose idéologie de mon idée sur les Vampires qui Vivent sur cette Verdoyante Terre. Une Vague d’êtres Vacillante et vaincue qui joue les Vilains et les Victimes, et Vice-Versa, en oubliant leur Vrai Valeur pour s’approprier la Vie hélas Vulgaire remplie de Vices. »

Rien ne pouvait être aussi neutre et réconfortant que les paroles qui sortait en ‘’V’’. Ses pensées étaient pourtant véridiques car plusieurs Vampires, dont la vie continuait sans cesse en tournant en rond, cherchait un moyen de se libéré en détruisant la vie puis en jouant les pauvres êtres emportés par la peur.

[V for Vendetta, I Love this Movie ♥ Wink

]

En entendant les "V" Dakimis se remémora un souvenirs. Elle se voyait à l'âge de 9 ans avec ses frères dans leur jardin, le soleil réchauffait ses pommettes déjà bien rouge faisant des allergies au pollen du cerisier. Son père était monter sur la table et avec un couteau faisait des grands gestes en faisant de longue phrase comme Geophal l'avait fait. Dakimis contemplait la rue désert et silencieuse, le calme, la nuit était trop calme. Dakimis aurait donne son immortalité pour passer une journée près des humains sans sentir leur odeur de sang, ou voir les veines ressortirent. Elle hocha la tête vivement de droite à gauche comme pour chasser ses souvenirs:

"Mon père faisait les même phrase que vous, le "V" était sa lettre préférer et bien que mon nom ne commence pas par un "V" mais mère s'appelait Valérie..."

Dakimis continua:

"J'ai conseiller à notre maître de laisser les humains en paix le temps qu'ils re reproduise mais je crois que c'est peine perdus, si nous n'avons plus d'humain nous "mourirons" même si nous sommes déjà mort..."

Elle se mit à rire et dit:

"J'estime que nous ne devrions pa sjouir des même bonheurs que les humains, nous ne sommes pas humain, nous devons donc chercher d'autre dicertisement. C'est drôle mais nous ne sommes pas des humains et pourtant nous avons des sentiments humains... Trouver le problème?"

Dakimis regarda Geo en souriant.

(Je suis bien d’accord avec toi! Je venais juste de l’écouter et je suis allé voir le monologue sur internet pour m’en inspirer. Comme tu vois, ce n’est pas exactement pareil mais j’ai passé un bon 30 minutes à essayer que les phrases se tiennent)

« Je me nomme moi-même par un V, car me voici, Valvady. J’adore faire douter des gens en leur présentant une présentation des plus amusante et recherchée. J’ignorais que je n’étais point le seul, mes grâces à votre père car il a du goût. »

Il prit une pause dans ses phrases sans pause et regarda Dakimis sourire après une telle rage déclenchée par la fureur de sa prison d’immortalité.

« Nous étions tous humains mais certes nos buts sont différents. Mais les sentiments humains s’égarent de nous un peu plus tous les jours, ou tous les siècles dépendant de l’âge de naissance que vous avez en ce monde. »

Il sortit sa main de sa cape une seconde fois avec un morceau de parchemin vieux et jaunâtre datant d’une époque antérieur.

« Voici un petit cadeau de ma part, certes ce n’est rien de très extraordinaire mais il peut être utile un certain moment. Je vous le lègue comme un de mes amis me l’a offert il y a une centaine d’année. »

Il déplia le parchemin de papyrus du rouleau. Un grand dessin d’un lycan et d’un vampire en chauve-souris s’attaquait mutuellement. Des lettres en latins faisaient le contour de l’image quelque peu effritée depuis l’époque où elle a été faite.

« J’en ai longtemps cherché la signification sans la trouvé, vous seriez peut-être capable de le faire. C’est un but comme un autre mais je suis las de parcourir le monde pour en trouver le sens. C’est à vous Dakimis, d’en trouver le sens. »

Il le roula autour du morceau sculpter de bois et lui tendit.

[Van Helsing? Le dessin nope? :oops:]

"Je vois sa, vous laissez les esprit troubler après votre passage c'est pas très gentil tout sa!"

Dakimis se mit à rire, comme si les vampires étaient gentil!

"J'ai plusieurs siècles derrière moi malheureusement, c'est peut-être pour cela que je me sens vide quand la colère n'est pas en moi..."

Soudain elle le vit plonger sa main dans sa cape, par réflexe elle mit sa main sur son épée avant de s'excuse voyant qu'il sortait un vieux parchemin:

"Excuse moi, je suis toujours sur mes gardes."

Dakimis le prit et le regarda attentivement, elle aurait un nouveau but maintenant, celui de trouver le sens:

"Si vous en parcourant le monde vous n'êtes pas arriver à en savoir la signification comme voulez-vous que moi qui ne suis jamais sortit de Londres je puisse résoudre le problème? Je veux dire... Vous êtes beaucoup plus cultiver que moi sa ce voit dans vos paroles et dans vos actes. Je ne pourrais pas..."

Elle le rangea précieusement le mettant dans sa poche arrière qu'elle avait cousu.

"Et vous avez-vous un but dans votre immortalité?"

(Non…mais je dois avouer que ça y ressemble! Je n’avais pas remarqué. Si tu parles bien sûr de la version avec les trois femmes et le monstre de Frankenstein avec Mr.Henks au début!)

« J’ai peux être cherché plus loin qu’il ne le faut mais je suis las d’en chercher les mots et la signification sans doute caché. Je ne puis vous dire ce que j’ai accompli avec, je ne peux seulement vous souhaitez bonne chance dans votre avenir. »

Il pensa soudainement aux nouveaux buts qu’il aurait à faire un jour. Pour l’instant, rejoindre les rangs du grand Dracula lui importait.

« Comme je vous ai dit tout à l’heure, je souhaite bien sûr rencontrer votre maître en privé pour lui démontrer mon art et mes talents. Le Grand Comte Dracula est connu par tous les vampires ayant eu un maître et je désire le rencontrer afin de raconter l’histoire à mes enfants. »

Voyant qu’elle hésitait à garder le parchemin malgré que la Vampire l’ait mit dans sa poche, il lui dicta une phrase.

« Celui qui donne le parchemin ne le recevra plus jamais d’une autre main. Celui qui en est le porteur doit le garder jusqu’à ce que toutes ses idées en soient épuisées. Celui qui le recevra est celui qui cherche sa destiné dans le néant du monde. »

Il prit une pause pour en séparé le poème de ses mots.

« Ainsi en est ça prophétie. Je ne puis vous en dire d’avantage sur lui. Bonne chance seulement. »

Il replia ses mains sous sa cape et l'invita à marcher encore.

[Oui c'est celui là que je voulais parler, c'est Dr Jekyll ou Mister Hyde Wink

]

"Je ne vois pas d'avenir pour moi, j'inspire à être délivrer de cette enveloppe corporel ayant assez vécut sur cette terre. Mais je n'ai pas le courage de quitter mon maître qui ma tant donner. Il ma donner l'opportunité de me venger des agresseurs de ma famille et pour sa je lui en serait énormément reconnaissant."

Dakimis le regarda puis l'écouta réciter un poème très jolie, elle lui fit un petit sourire:

"Peut-être que c'est sa qui ma manque, des enfants... Non ce qu'il me faut c'est du repos total et absolu... Je verrais le parchemins plus tard."

Enfin elle reprit sur Dracula:

"Oui notre maître sera content d'avoir une nouvelle recrue, je pense que tu va lui plaire mais après je ne suis pas dans sa tête. Ton caractère va surement lui plaire même si il ne te le montra pas."

Dakimis accepta l'invitation mais alla dans l'autre sens avant de dire:

"Notre QG est par là Mister, je vous emmène?"

Elle c'était arrêter et regarda Géophal, il se battait toujours avec ses sentiments pour ne rien laisser paraitre. * Pauvre Géophal... J'espère que notre maître pourra t'aider... Je l'espère sincèrement pour toi...*

Le grand vampire se retourna dans un mouvement gracieux laissant sa cape faire un rond sans toute fois laisser une ouverture pour voir son corps difforme dessous. Il avança d’un pas long et mesurer puis rajusta son chapeau de forme noir comme la nuit pour suivre la puissante guerrière. Le fait de s’avoir trompé de voit ne fut pas un choc à ses yeux mais plus un problème d’orientation dans cette ville. Il ignorait bien sûr où était la demeure du grand Dracula, de ce fait, ignorait le chemin pour s’y rendre. Il baissa la tête en signe de résignation à suivre la vampire dans la ville comme guide.

« Tous les chemins mènent à Rome, je suis sûr que nous y serions parvenu de ce côté. Mais je vais me fier à vous Darling pour ne point me perdre dans ses sentiers formant ce labyrinthe géant de milles lumières. »

Dakimis pu entendre un claquement sonore d’en dessous de la cape difforme. En faite, le vampire à la peau blanche avait replacé un de ses gants. Ce fut le son du cuir sur la peau de pierre.

« Londres est trop vaste pour cette époque. Les humains n’ont sans doute plus de mémoire pour la peste qui les avait ravagés en 1348. Il nous a fallu bien de l’aide pour ne pas tous les perdre. Étiez-vous au milieu de tous ses mourants à l’époque? Je me souviens de Marseille qui brulait et les hommes qui ne faisaient que mettre le malheur sur eux alors que nous les sauvions. »

Il parlait encore avec une voix monotone et neutre qui faisait du récit une plat histoire, ni triste, ni humoristique.

Dakimis le regarda faire demi-tour d'un geste élégant. Elle avait croiser ses bras et l'écoutait. Elle dit alors avant de rire:

"Non, je suis désolé de te contredire mais c'est pars là. Si tu te dirige par là tu te dirige vers le centre de notre magnifique ville, et tu arrivera directement sur le bordels des humains. Vous pouvez, je suis pour l'instant une personne de confiance à votre égards mais..."

Elle c'était approchée de lui et dit:

"Si vous vous avisez de me trahir, ou d'essayer quoi que ce soit qui me nuirait, vous ne pourrez plus vous fiez à moi mais vous devrez vous méfié de moi."

Puis elle attendit qu'il soit à sa hauteur avant de repartir, les mains croiser derrière son dos, elle écouta Geophal parler de la terrible peste noir qui à ravager bien des pays. Elle dit alors d'une voix asser triste:

"Bien des Vampires périr en ce temps là, les sorciers et sorcières étaient brûler, oui j'étais née à cette époque. J'abrégeais les souffrances des mourants en leurs prenant leurs vies. Ainsi il ne souffrait plus, avez-vous aussi fait cela ?"

Un sourire : la belle époque, où le mot vampire terrifiait les habitants, maintenant ce n'était plus le cas même si il les craignent.

Il la regarda légèrement ébahit en sachant que plusieurs vampires avaient tués les malades au lieu d’aider la populace vivante à fuir et à guérir. Ainsi donc, son travail avait sans doute été inutile.

« Je ne puis hélas vous dire que je ne suis pas d’accord avec la méthode que vous aviez utilisée. Plusieurs de mes groupes de recherches cherchaient des moyens d’enlever ce fléau de sur terre en capturant les malades qui mourraient dans les trois jours qui suivaient. Les vivants, nous les dissimulâmes s’ils n’étaient pas affectés. Un sal boulot en effet mais aucun de nous se risquait à les mordre. Ce devait tellement être affreux au goûté. J’ignore comment vous avez faite. »

Le blême vampire continua d’avancer au côté de la guerrière, la générale de la colère sans un son.

« Ainsi donc, vous vivez à Londres depuis plus de cinq cent ans, je suis impressionné. Rare sont les vampires qui peuvent restés aussi longtemps dans une même ville. De toute façon, la populace vient à avoir de sérieux doutes si le nombre de vampire est trop grand. Mais comme je crois, votre terrain de chasse est ici à Londres. Pardonnez-moi ma curiosité. »

"Oh non, les truands même ayant la peste avait un excellent goût. Je me délectai plus des hommes qui combattait mieux la maladie. Il suffisait de ne pas respirer et le tour était jouer. Les Sauver? Sauver notre nourriture j'aurais tout entendu!"

Elle se mit à rire:

"L'avantage d'être un immortel est de pouvoir jouir d'une immunité face aux maladies donc autant en profiter vous ne penser pas?"

Puis Géophal demanda comment elle avait put rester autant en ville:

"Tout simplement car je c'est ma ville natale, et je ne quitte pas mon maître ainsi, il serait mal aviser de lui faire faux bond croyez moi."

Elle marchait à ces coter, se dirigeant vers le QG : on pouvait voir les ombres du manoirs:

"Ne vous inquiétez pas mon ami, pour l'instant je ne tue que les truands et les criminels. Je délivre donc Londres de ces criminels. Il n'y a pas tant de Vampires que sa, pour une ville comme Londres c'est proportionnel ne vous inquiétez pas."

Kim marchait d'un pas lent, faisant des grand pas pour être à la hauteur du vampire:

"Et vous alors, d'où venez-vous?"

La grille apparut, cacher dans les arbres des lions gardait le lieu :

"Voici notre maison, venez."

Elle ouvrit la porte et entra.

Dakimis ouvrit les portes sombres du manoir du Comte Dracula dans un léger grincement. Il regarda sans surprise l’allure de la maison, le lieu culte des vampires de Londres. Il entra à sa suite avec le même visage neutre qu’il affichait depuis leur rencontre, bien que quelque soubresaut au niveau de sa bouche eut parût.

« Comme je vous l’ai dis tout à l’heure, je viens de partout et je ne reste point au même endroit. Cela peut vous paraître totalement ennuyeux ou exquis. Malheureusement, je ne suis au service de personne outre que moi-même et dans ce présent cas, je ne peux ressentir la servitude et la loyauté que vous semblez accorder à votre maître. »

Il posa les yeux sur chaque détail que lui offrait la vue de ce manoir qu’on pourrait qualifier de normal pour un humain, bien qu’elle soit légèrement sinistre.

« Ainsi donc, tous les vampires de cette ville se retrouvent ici. Original! Je dois avouer que j’ai rarement vu cela. Pardonnez-moi mais, dans mes voyagent, les regroupements se faisaient à l’aide d’un son bien spécial que les humains ne peuvent entendre. Il nous indique où se rendre et c’est rarement au même endroit. Vous m’avez dit générale, vous avez donc une monarchie dont le Comte se trouve au sommet j’imagine. La voix des vampires voyageurs, tel que moi, avons-nous une voix au conseil? »

Alors que les pas de Dakimis et Geophal se faisait entendre dans les graviers de la cours, Geophal expliqua le moyens de regroupement dans d'autre pays.

"C'est exact, tous vivent ici, ceux qui ne veulent pas ne sont pas obliger mais ils sont un chambre. Ils viennent généralement là lorsqu'il son gravement blesser voyez-vous."

Des vampires curieux sortirent des ombres approchaient Dakimis en disant:

"Qui est-il? Tu l'amène ici alors que tu n'a pas l'autorisation du maître!
-Ne t'occupe pas de mes affaires ni celle du comte. Ce vampire veut rencontrer notre maître. Pousse toi de mon chemin."

Ce dernier la regarda de haut, ses yeux rouges sortaient de sa cape : il pensait intimidé la générale qui posa immédiatement sa main sur son épée:

"S'il te plaît!"

Voyant qu'il ne bougeait toujours pas elle là sortit et s'arrêta à quelques centimètres de son cou, finalement il décida de ce pousser. Elle rangea son épée,et continua son chemin en faisant signe à Geophal de continuer:

"Nous nous méfions des nouveaux, mais vous êtes "inoffensif" pour notre maître, je le sens. Non les vampires n'ayant pas de grade n'ont aucunes voix lors des réunions. Les généraux et les Chefs des Espions, des Assassins et enfin de l'armée sont présents."

Elle monta les marches et ouvrit les portes, le hall en rouge pourpre s'offrit à ses yeux :

"Bienvenue dans la maison de Dracula. Je vous en prie."

Elle le fit entrer avant de refermer la porte, un silence absolu s'offrit à eux:

"La plus part des Vampires sont partis à la chasse. Ils ne reviendront que dans quelques heures. Venez."

Dakimis monta les marches tout en ce tenant à la rambarde et l'emmena dans les longs couloirs du manoirs. Voyant que Geophal admirait les peintures elle s'arrêta et dit:

"Nous avons une galerie d'arts, si vous aimez cela je vous la monterais en attendant vous devez voir le comte."

Puis elle repartit avançant d'un pas rapide, ils arrivèrent devant une immense porte, Dakimis montra un siège à Geophal et frappa à la porte. Une voix rauque et en colère se fit entendre:

"Quoi encore?
-Maître, j'ai amené un Vampire qui souhaiterait vous rencontrer, il est comme moi si vous voyez ce que je veux dire."

Dakimis voulait dire par là qu'il contrôlait parfaitment ses sentiments. Aucune réponse, Dakimis dit alors à Geophal:

"Je vous ai conduit à mon maître, bonne chance à vous et j'espère vous revoir bientôt."

Elle s'inclina et repartit dans le sens inverse...

[Je te laisse entre les mains du Comte maintenant Wink

]