Souvenirs, souvenirs... [Terminé]

Ce matin là, Sarah ouvrit les rideaux de sa chambre avant que les premiers rayons de l'aube ne fasse son apparition. Ne plus voir le soleil lui serait pour elle fatale. La chaleur du soleil dansants sur son visage quelle douce sensation. Son visage légèrement bronzer par les 1er coups de soleil lui donnait un air moins sévère et froide. Ses yeux mit en valeur, ressortait comme deux émeraude exposer à une violente lumière pour faire ressortir leurs couleurs. Elle ferma les yeux quelques temps avant de les ouvrir et de scruter la cours. Nuit étrangement calme... Cela était rare mais agréable. Malgré tout Sarah ne fut que plus inquiète : mauvais présage selon elle. Après avoir regarder un peu partout, elle retourna à son bureau et ce mit à regarder des cartes de Londres. Ces dernières avaient soigneusement été tracer par un de ses généraux. Elle passa son doigt sur le schéma de sa maison : elle allait y retourner, elle avait besoin de sentir ce contact même si elle ne croyait pas en la vie après la mort, ce qui est fait est fait et rien ne ramera sa mère, son frère et même son père en vie. Il fallait savoir avancer en faisant impasse sur le passé tout en le gardant en mémoire. Eoghan avait été transporter au château d'Arthur : ce qui rassura la belle blonde, elle le savait en sécurité. Sarah replia les cartes et ce leva pour passer une robe. Elle mit à sa robe verte mais coinça un poignard dans ses bas et dans sa manche : par sécurité. Le qu'elle puisse s'échapper si elle était suivis, ou repérer par l'ennemi. Certes cela ne servirait à rien mais elle pourrait gagner du temps pour réfléchir. Lorsque ces préparatifs furent finis, elle ce regarda une dernière fois dans la glace et descendit en bas. Des humains la saluèrent chaleureusement, elle y répondit avec plaisir, sans ce forcer. Elle alla en cuisine et demanda à la cuisinière qui étai présente (chacun cuisine à tours de rôle même elle) si il y avait des pommes ou des petites choses à prendre pour grignoter dans la journée. Sarah sentant le regard interrogateur de l'humaine répondit simplement qu'elle allait ce promener pour la journée : comme un jour de vacances avant de ré attaquer l'ennemi. Sans poser plus de question, la jeune personne mit dans une sacoche en cuir des provisions pour son chef, avant de lu souhaite bonne chance et elle va prier pour que Dieu la garde. Sarah la remercia et sortit par la porte de derrière. Cette porte menait directement au écurie. A l'entrée le portrait de son arrière, arrière, arrière, arrière, arrière, arrière, arrière grand-père qui à léguer cette maison au humain il y a des siècles de cela. Elle lui rendit honneur avant de ce diriger vers la jument de sa mère : une pouliche blanche aux yeux bleus mer. Sarah avait donner son poulain à sa « fille » Agatha, elle n'était pas sa mère mais c'était comme telle. Après l'avoir caresser elle la sella et ce mit en route seule vers sa maison. Elle y alla tranquillement, les rayons du soleil la protégeant des vampires mais pas des Lycans malheureusement. Mais elle n'y pensa pas, elle n'avait pas peur. Malgré son jeune âge, elle en avait vu des belles et des pas mûres voyez-vous.

Arriver sur les lieux, elle fit ralentir sa jument et descendit pour ouvrir le portait, rouiller par le temps, qui s'ouvrit dans un grincement glaciale. Comme si rien qu'en passant la grille, on pouvait sentir que des choses épouvantables c'était passer dans cette maison autrefois imprégner des rires des enfants Stanford. La maison était de taille respectable, Ciotat un manoir comme on pouvait en voir souvent en Angleterre à cette époque. Sarah n'avait pas voulut ré emménager dedans, elle avait peur et faisait des cauchemars rien qu'en y repensant : cela la terrifiait ressassant les terribles événements de cette nuit ou de simple fille de chef elle passa chef. Elle attacha sa jument dans les écuries qui était encore en bonne état et commença à gravir les marches pour entrer dans sa maison. Elle poussa la porte et resta longtemps derrière cette dernière : qui sait ce qui avait put s'installer ici après 2 ans... En effet la chef des humains avait habiter cette maison pendant 1 ans avec ses généraux mais avait finalement décider de rentrer au QG. Sur ces gardes elle avança dans le hall, autrefois somptueux, les mosaïques avaient perdus de leurs couleurs à cause du temps. Mais on voyait les traces des couleurs. C'est avec une boule au ventre qu'elle gravit les marches avant d'emprunter le couloirs en direction de sa chambre. Elle avait condamné ce couloir : rien n'avait changer depuis le meurtre de sa mère et de son frère. Après avoir passer la porte fermer à clé, elle avança en passant devant le bureau de son père. Puis devant la chambre de leurs parents et enfin au bout du couloir, tel le couloir de la mort, la chambres des enfants. Les courses dans ce couloirs était légendaires, cela avait causer à son frère d'avoir une cicatrice au menton. Dans ces murs maintenant vide, le silence était pesant, comme si tout ce passait sans que Sarah ne puisse rien faire. Elle ce revoyait, enfant, ce cacher dans le placard, son frère restant dehors. Ils avaient assister à la mort de leur mère, et il avait été griffer. Ce jour là son frère lui a sauver la vie et en échange elle l'avait exécuter. Ils avaient fait un pacte, il voulait mourir de la main de sa sœur et être enterrer dans le cimetière familiale. Son vœu fut exaucer, Sarah transporta son corps dans une charrette et avait pris tout le temps pour l'enterrer près de sa mère : sa place était là. En poussant la porte Sarah retrouva le sang sécher sur le parquet. Le sang de sa mère et de son frère mélanger. Jamais Sarah n'avait put nettoyer ce sang. Elle s'assit sur son lit d'enfant tout en regardant la tâche. Elle resta ainsi une bonne heure, plonger dans ses pensées, dans ses souvenirs passer avec son frère. Finalement quand cela fut trop dur de rester plus longtemps, elle entendait les cris de sa mère mélanger au rire des Lycans, infernale ! Sarah referma la porte et ce dirigea vers le bureau de son père, elle prit place dans le fauteuil couleur bouteille et posa ses jambes sur le bureau comme elle le faisait étant petite. Entourer des livres et des peintures de son illustre famille, Sarah s'assoupit...

Notre humaine ne ce réveilla qu'à la nuit tomber, aucun Lycan n'était arriver, ou l'avait réveiller la maison était encore dans son calme et la noirceur commençait à ce faire de plus en plus pesant. Sarah avait l'impression d'être dans une maison hanter, dans ce couloirs surtout. Brusquement elle comprit que quelques choses n'allaient pas. Son instinct lui disait de partir aussi vite, une ombre était sur elle. Cacher dans l'obscurité du bureau, scrutant, observant la jeune femme. Vampire, Lycan, Humain, peut importe : c'était une menace qui pouvait fondre sur elle à tout moment. Pris de panique elle ce leva rapidement, attrapant au passage l'épée de son père rester ici depuis toutes ses années mais toujours aussi tranchante : si vous saviez le nombre de tête de vampire et de lycan qu'elle à couper... Elle ce mit à faire le chemin inverse à toute vitesse et alors qu'elle allait attendre les marches une ombres passa près d'elle : faisant craquer les marches. Sarah s'arrêta immédiatement, sa respiration ce saccadant : on ce serait cru dans un film d'horreur, sauf que ce n'était pas un film. Sarah ce mit à longer les murs, son œil en alerte, près à ce défendre contre n'importe qui. Cela ne servait à rien de dire : "Qui va là?" La personne ne répondrait pas ou ce présenterait d'un ton narquois de supériorité sur une humaine telle que Sarah. Une méchante impression de déjà vu ce fit ressentir dans le corps de Sarah : des frissons apparurent sur sa peau et remontait jusqu'à sa nuque.

Enfin le noir, sont corps démantibulé, brûler et presque sans vie marchait encore tentant de rejoindre son lieux de repos; son cercueil.

Le pauvre Vampire avait essayé d’arrêter Claudia même avec son corps décharné d’une première fois. Il s’était rendu à l’endroit où il était, Claudia laissant ses pensées allé vers Louis, son amour. Il s’était présenté à leur demeure tout bonnement leur laissant les frissons de la peur les faire mourir. Il apparaissait, disparaissait à sa guise et les laissa monter en haut où il s’y rendit avant eux et commença sa chanson préféré au piano.

https://www.youtube.com/watch?v=80q7aQqNZzQ&feature=related
(chanson sur youtube et confrontation)

Il prit Louis et le jetta à terre mais tout s’arrêta par la prise d’une lampe et les flambes qui commençaient à prendre sur les vêtements de Lestat. Et ils fuirent, une deuxième fois. Lestat, qui avait été gravement brûlé, revint en Angleterre grâce à quelque connaissance qui voulait sans doute laisser le loisir à Dracula de le tuer.

Pendant quelque temps il rampa dans les bois à la recherche de Dakamis, Vaniel ou Dracula…n’importe quel Vampire qui aurait pu l’aider. Puis il entendit des pas et il s’arrêta. Il était un monstre d’apparence de toute façon, n’importe qui pourrait lui lancer une pierre et le tuer directement sur le champ. Ce fut la voix d’une fille qui lui vint, mais pas une voix connu et trop faible, il ne pouvait lire dans ses pensées. Il s’arrêta et fit le mort, dont il en avait l’apparence.

Le bruit cessa, comme si la chose c'était désistée à poursuivre l'humaine. Elle reposa son bras tout en continuant de scruter les ténèbres. Elle avança prudemment dans le couloir pour attendre les escaliers : Sarah ne savait pas ce que c'était mais cela n'était pas humain. Tout en étant en alerte, elle descendit les marches pour retourner dans le hall. La piano était encore là, trônant dans la salle de bal. Elle sortit finalement pour voir qui lui avait fait aussi peur mais rien, pas un brise, ni même un Alizée. La nuit était sombre et paisible, comme si rien ne c'était passer : peut-être était-ce l'imagination de Sarah après tout. Sa jument était encore dans l'écurie, tapant le sol avec son sabot : elle avait sentit quelque chose. Si seulement elle pouvait parler... Sarah marcha vers les bois en entendant des oiseaux s'envoler. Il y avait donc quelque chose, cela rassura en partie la jeune femme qui pensait qu'elle était folle ! Sarah rentra dans la maison et prit une vielle lampe : par chance il y avait encore de l'huile. Après avoir réussit à l'allumer elle resta longuement debout : tenter de chercher la chose ou de rester ici en attendant que le jour ce lève. Finalement elle décida de rester et referma la grande porte. Sarah ce dirigea par la suite dans la salle de bal et alla directement vers le piano. Là elle ce mit à jouer une chansons (cliquer )que sa maman lui avait appris. Cette dernière la jouait dans les événements funestes. Un hennissement, Sarah s'arrêta de jouer et prit la lampe qu'elle avait poser au dessus. Elle décida de ressortir et de suivre sa première idée. Inconsciente elle était, mais sa curiosité la poussa à s'enfoncer dans la forêt noir.

Sarah avança, scrutant les moindres ombres et créatures de la nuit. Beaucoup d'animaux partir en l'entendant, soudain elle vit un cadavre carboniser. Méfiante elle s'approcha et essaya de discerner ce que cela pouvait être. Rien autour de lui ne semblait indiquer que l'accident avait eut lieu dans la forêt. Son apparence cadavérique effraya d'abord surah mais elle avait vu pire. Elle posa soigneusement la lampe et la mit sur de la terre battu pour ne pas déclencher un feu de forêt qui aurait détruit tout la faune sauvage des environs. Elle posa sa main dans le cou meurtrit : il était mort. Elle ce releva et regarda le corps : elle ce mit à réciter une prière pour le défunts. Soudain Sarah vit les doigts du macchabée bouger, elle dit alors en s'accroupissant rapidement de nouveau:

« Que vous est il arriver? »

Homme, femme? Il était dur de savoir:

« Attendez ne bouger pas! »

Sarah regarda les environs et trouva une plante, ces vertus était connu pour soulager la douleur; Elle retourna auprès du blesser et mâcha la plante après avoir enlever ce qui était toxique. Après avoir fait cela, elle recracha la mixtures verdâtre dans sa main et la mit dans la bouche du blesser:

« Cela devrait soulager vos douleurs. »

Était-ce la créature de sa maison qui avait fait cela? Sarah n'en avait aucune idée.

Il écouta le morceau de musique, pensa à sa belle gitane qu’il dut tuer à cause de sa propre nature qu’il se refusait. Il restait étendu sur le sol de la forêt sans trop agir sinon à avancer durement en rampant. La mélodie enivrait son cœur mort de vampire et son désir de prendre le violon et de suivre le doux rythme qui courait dans l’air.

Puis, des pas revinrent et il s’appuya sur le ventre. On toucha sa froide peau qui tombait en morceau, comme si la vie était encore dans son corps défaits. Elle parlait, lui disait de rester là…comme si il allait se mouvoir d’avantage que bouger légèrement ses doigts engourdit. Lestat cracha ce qu’elle lui avait mit dans la bouche. Il prit peur mais son manque d’énergie lui empêchait de vraiment bouger. Les seuls membres qui répondaient vraiment encore étaient ses doigts. Il espérait vraiment fort qu’elle ne regarde pas encore ses signes vitaux. Étant vampires, il n’en avait plus. Il tourna la tête de côté et ouvrit ses yeux qui étaient à présent rouges, autant les veines gonflées que la pupille. Il eut un rictus de rire devant l’esprit pitoyable qu’il représentait ainsi défait, presque nu dans la forêt en soirée. Dans son sourire, elle pu voir les longues canines laisser une trace dans la bouche mais sans aucun sans qui coulait. Il sentait la mort, il était laid et ne semblait pas humain…loin de là. Un petit rire sortit de sa gorge et ses yeux se referma et il ne bougea plus.

La peau du blesser tomba sous ses doigt, cela avait horrifier Sarah de voir un petits tas de particule noir. Il ce mit à cracher ce qu'elle avait pré mâcher pour lui : * Si il ne veut pas d'aide alors tant pis!* Sarah était de nature douce et attentionnée mais quand on voulait pas de son aide elle n'allait pas forcer la personne. Soudain elle vit ces yeux rouges saphir ruisseler dans l'obscurité de la nuit. Elle prit peur : c'était un vampire. Malgré le faite qu'il soit gravement blesser, il n'en était pas moins dangereux ! Un rire à glacer le sang sortit de ces lèvres squelettiques et brulées. Une violente envie de frapper la créature s'empara de Sarah mais elle ce retint alors qu'elle armait son bras. Maintenant qu'il était dans les vapes : il était à sa merci. Sarah n'avait pas envie de tuer alors elle retourna au manoir familial, monta en haut, tout en évitant le couloir qui lui fichait une peur bleue et ce dirigea vers une chambre d'ami. Elle prit un drap et redescendit en bas pour ce diriger vers sa monture et s'enfonça de nouveau dans l'obscurité. Elle retrouva au même endroit le corps du mort-vivant et soupira :

« Je ne sais pas ce qu'il me passe par la tête ! Je devrais te tuer! »

Mais elle ne le fit pas et étendit le draps par terre. Après voir fait cela, elle prit les main du vampire et le mit sur ce dernier. Tant bien que mal ayant peur qu'il ce réveil et la morde! Elle coupa avec son poignard le drap en deux pour attacher chaque morceaux à la selle et repartit vers le manoir tout en le trainant. Malheureusement, son cheval ne pouvait pas rentrer dans le manoir, c'est donc à la force de ces bras qu'elle tira le corps dans le salon avant d'y allumer un feu. Elle ce reposa un peu, regardant le corps noircit par les flammes et ce décida à l'aider:

« Tu n'a pas intérêt à m'attaquer sinon je te tue sans hésiter! »

Elle alla chercher une corde et attacha solidement les pieds et les mains pour pas qu'il puisse l'attaquer avant de le ballonner. Sa peau s'effritait à chaque fois mais tant pis : elle devait ce protéger. Sarah repartit une fois de plus dans la forêt et trouva des lapins, et trouva quelques rats qu'elle mit dans le sac qu'elle avait prit. Elle revient une petite heure après et s'approcha du vampire.

Son état ne s'arrangeait pas, après avoir enlever le tissus sur sa bouche, elle prit le lapin encore vivant, le sortit de son sac et le saigna à blanc tout en visant à ce que le liquide bordeaux aille dans la bouche du vampire. Elle fit cela pour tout les animaux qu'elle avait.

« Bon, comment vous êtes arrivez là? »

Toujours sur ces gardes, prêt à dégainer son poignard à tout moment:

« Il est rare qu'un vampire vienne dans les alentours, ce sont plutôt les Lycans. Et n'essayer même pas de m'attaquer, vous êtes encore faible et je peux très bien vous tuez!»

Il eut peur un moment quand elle recula et prit son arme mais fut soulager de constater qu’elle était faible comme humaine. Les pensées qu’elle disait à voix haute le faisait rire, non d’apparence mais dans sa tête. Il se riait d’elle. Puis, elle partit en le laissant là. Il n’eut pas la force de dégager et espéra que ce soit un vampire qui revienne, et non les pas trop raides de cette femme. Elle prit un drap blanc et le mit autour de sa pauvre silhouette de squelette et le traina avec un cheval. Le train train de l’animal, qui certes sentait bon, lui fit perdre quelque autre morceau de lui-même. Elle le traina à terre sur une bonne longueur où il sentit chacune des dalles recouvrant les plancher avec grimace car il ne pouvait rien faire d’autre. Lestat fut surprit et soulager de voir qu’il n’y avait pas d’autre humain autour. Ses membres lier lui rendait la vie difficile et se sentit vraiment comme une proie.

Puis elle repartit en parlant de sa menace mais il s’en foutait. Il resta sur le sol sans bouger, les yeux fermé, essayant de déchiffrer des pensées dans le manoir, détecter une présence quelque part. Ce fut en vint. Elle revint avec des petites bêtes qu’elle saigna et…
*Umm ! Du sang, j’en veux encore…*

Plus le sang entrait dans sa bouche, plus la peau morte tombait laissant place à une plus lisse mais encore noire et blanche du mort et de la faiblesse. Ses yeux étaient moins rouges mais ses dents poussaient car l’envie était là. La gourmandise le titillait et tel était son titre…et cette humaine...

-Est-ce de vos affaires les miennes?

Malgré sa désabusions, il lui était reconnaissant et savait maintenant où les lycans se trouvaient si une guerre commençait. Ainsi donc, c’était leur terrain de chasse. Les idées plus claires, Lestat se réjouis de l’avoir près de lui. Tant qu’il n’approchait pas, il était sauf.

La peau de Lestat redevenait normal alors que le doux breuvage coulait dans la gorge de ce dernier. Sarah avait déjà essayer de boire du sang, juste pour comprendre les vampires comme son père l'avait fait bien avant elle mais c'était peine perdu. Le goût ne devait pas être le même, peut-être leurs papilles était surdévelopper pour aimer ce breuvage rouge au goût de métal. Sarah n'avait pas peur de Lestat même si ce dernier avait retrouver sa couleur vampirique. Il était toujours faible et elle au meilleur de sa forme, elle ce sentait bizarre quand il la regardait. Comme si il essayait de lire en elle:

« Vous avez raison, ce ne sont pas mes affaires ! De toute façon, vous vous ressemblez tous, tous de la même famille. Aucun d vous ne ce différencie. Pas de chance! »

Pendant qu'elle parlait elle prit le couteau pour couper les liens. Puis, ce sentant observer elle partit, sans dire un mot de plus. Elle retourna dans la salle ou ce trouvait le piano et recommença à jouer sans ce préoccuper du mort-vivant qui était quelques pièces plus loin. Bizarrement elle n'avait pas peur du tout de lui. Et pourtant c'était un vampire mais l'épée de père était accrocher autour de sa taille, c'est comme si l'esprit de ce dernier la guidait. Ses doigts glissèrent sur les touches du piano laissant échapper un doux son. Elle ce laissa envahir pur la musique et oublia même la présence du Vampire. Malgré tout elle était sur ces gardes près à n'importe quel moment pour contre attaquer si l'immortelle voulait l'attaquer dans le dos.

Il reprit force mais sans nécessairement être bien près à s’enfuir pour retrouver l’aide de Dakimis ou de Dracula. Y avait-il d’autre humain qui les connaissait si bien? Et de plus, il ignorait le monde qui se trouvait à l’intérieur ou extérieur de l’endroit. Tout semblait tranquille, un peu trop même. Après qu’elle eut délié ses liens, il resta couché à terre, essayant de découvrir ses intentions, et la laissa partir. Les pas s’en allèrent plus loin, poussant les lourdes portes qui se trouvaient devant eux. Il se releva, légèrement chancelant, quand la douce musique du piano se remit en jeu. Il l’écouta en s’approchant essayant de distinguer clairement la mélodie et la place d’où venaient les notes qui étaient si belles à son oreille. Avec célérité, il se mit en arrière d’elle sans la toucher, voyant que l’épée trainait à sa ceinture. Il ne voulait pas s’attirer plus d’ennui qu’il en avait en ce moment. En plus, sa tâche avait été vaine. Il écouta et mesura chaque temps en regardant les doigts qui bougeaient sur le clavier. Ses yeux reprirent leur couleur rouge mais pas une teinte cruelle mais bien de ravissement. Il en était ainsi à chaque fois que la musique entrait au plus profond de son âme. Comme Claudia, elle avait de la misère avec le glissement de ses doigts sur les notes ce qui brisait que légèrement le rythme. Il s’assit près d’elle, la musique étant plus importante à ses yeux que le besoin pressant de sang. Il arrêta son geste d’un petit coup sur les doigts. Il se releva, se mit à sa gauche et glissa sa main sur celle de la jeune femme en lui montrant comment bouger sur la surface.

-Jouez ainsi…

Sarah n'entendit même pas le vampire s'approcher d'elle, tellement concentrer à s'appliquer pour jouer en l'honneur de sa mère. Elle fut surprise en voyant le vampire s'asseoir a coter d'elle et lui taper sur la main comme pour dire de stopper. Ces yeux rouges magnifiques, scintillait, elle avait l'impression que les notes défilaient dans ces yeux. Sa main froide ce posa sur la sienne, un frisson la parcourut, elle joua comme il lui dit et cette chanson qui semblait redonner vie à la maison. En effet le son était beaucoup plus agréable:

"Où avait vous appris à jouer?"

Sarah continuait d'appuyer sur les touches avec douceur pour faire sortir un son plus doux.

"Moi c'est ma maman qui ma appris avant sa mort..."

C'était sortit tout seul, à croire que la musique avait le don de calmer les esprits et de les rendent moins agressifs : Sarah le sentait dans le vampire.

Il écouta un bout de la mélodie qui se créait et mit à son tour ses longs doigts sur les touches. Il ne joua pas la même musique que la jeune fille mais le son qui sortait s’harmonisait parfaitement avec et il ferma les yeux.

-J’ai…

La musique continuait, s’était comme si elle le redemandait dans sa magnificence. Il ne voulait pas briser le son mais répondait quand même tranquillement.

-J’ai appris à jouer dans mon jeune âge, bien avant de le devenir…Et, on atteint cette perfection du jeu…quand ça fait des dizaines d’années…que l’on pratique…il faut! Bien plus que du talent…pour jouer…il faut se laisser remplir par la musique…la…la laisser s’insinuer en nous.

Il ouvrit les yeux à ce moment qui ne fixèrent rien en particulier. Plus rien n’avait d’importance, c’était comme si il redevenait humain pour une fois, sans risque de se faire traiter de monstre car elle l’avait sauvé. Qu’elle était cette soudaine pitié envers un Vampire.

« Quel âge tu as? Pour arriver à ton niveau il faut des siècles et des siècles de suppose. Je n'ai que 22 ans... Je suis jeune encore. »

« La mortalité ne vous manques pas? »

« Vous devez vous demander pourquoi je ais sauvé dans la forêt? »

« Car je ne suis pas venu ici en tant que humaine, mais je suis venu ici pour honorer un souvenir. Aucune raison donc de vous tuez. Et puis cela aurait été lâche de ma part que de vous achevez alors que vous étiez faible. Mon père n'aurait pas voulut. »

L’enfance de l’humaine à côté de lui. La lecture de sa tête confirmait les dires mais la voix il n’en avait cure. Rien ne trahissait plus quelqu’un, qu’importe sa race, que ses pensées. Un simple petit mot et tout disait qu’elle mentait, et pourtant non. Elle avait une étrange confiance qu’il ne sut dire d’où elle venait mais il était clair qu’elle pourrait venir de l’admiration. Il cessa de jouer lorsque l’immortalité devint sujette. Il tourna la tête et fronça des sourcils. Il détestait parler de sa situation. Lestat ne voulait que le pouvoir, l’admiration et non la cachette et la mascarade dont les Vampires adoraient et était obliger de suivre. Sans cette mesure nécessaire, ce serait la disparition de tous ces membres. Il se leva lorsqu’elle continua de parler avec une touche plaisante d’innocence dans la voix.

-Il ne suffit pas de savoir pourquoi vous ne m’avez pas tué mais pourquoi vous m’avez emmené ici. C’était me condamné à mort. C’est aussi pire sinon plus! Vous êtes trop jeune pour comprendre seulement le sens de ce que vous dites.

Il avança vers le mur et s’y appuya la tête et se concentra afin d’écouter si d’autre humain était au alentour. Il voulait sortir, faire quoi, il ne le savait pas exactement mais sa survie comptait plus même si souvent il avait pensé à se tuer. Mais comme d’habitude, la mort le fuyait, même à la main d’une templière, au sein même de leur quartier général. Quelle était donc cette chance, ou ce malheur qui le suivait depuis plus de soixante-dix ans? Une douce image envahit Lestat…

Sarah n'avait pas encore fait ses armes, elle était trop jeune encore pour être dur, son innocence en avait prit un sacré coups surtout quand elle avait dut reprendre les rênes du clan. Mais malgré tout il reste une part de naïveté, pensant qu'un jour toutes les races pourront vivre en paix. Quel doux mensonge n'est-ce pas? Au fils du temps, Sarah ce rendait bien compte que cela ne serait jamais possible sauf dans ses rêves et encore ils avaient tendances à ce noircir. La musique s'arrêta dans un bruit de note sourde, Sarah continuait de jouer, ne le regardant pas, mais sentant son regard sur elle comme une lame dans son dos. La chef savait qu'il ne fallait pas parler d'immortalité avec un Vampire ou un Lycan. Généralement frustrer ils ce braquaient tout de suite. Pourquoi? Encore et toujours ce mot, à croire que les hommes, et les créatures de la nuit n'avait que ce mot là à la bouche:

"Pourquoi je vous ai amené ici? Je n'allais vous laisser dans la forêt tout brûler à l'agonie Si vous voulez y retourner libre à vous de partir ! Je ne vous retiens pas ici à ce que je sache ! Vous voyez des chaînes qui vous attachent? Non à ce que je sache, vous condamné à quoi hein? A voir une humaine qui à la vie devant elle et qui en même temps cours droit vers sa mort? Comme je l'ai déjà dit je ne vous retiens pas, libre à vous de partir. Marchez tout droit vers le nord et vous arriverez à la ville."

Sarah avait dit cela tout en continuait de jouer, une voix plus dure et plus mature que celle qu'elle avait avant. Non elle ne savait pas ce qu'elle disait ! Elle savait juste qu'elle était trop jeune pour être enrouer dans cette guerre qui n'était pas la sienne mais celle de ses ancêtres ! Si Sarah pouvait tout abandonner pour laisser ça place elle le ferait mais où qu'elle aille dans ce bas-monde, des vampires et des lycans feraient partit de son quotidien. Le monde était une prison, où chaque pays contenait les mêmes choses. Rien de très intéressant à part une guerre qui sévit depuis des siècles. L'amour? Pensez-vous vraiment que l'amour à une place dans une guerre? Non on n'aime pas quand on participe à cette dernière, on apprécie mais on n'aime pas, ne s'attache pas. Toujours prêt à perdre l'être qui compte pour nous : voila ce que c'est aimer en temps de guerre ! La seule fois qu'elle avait vraiment aimer, était horrible, voir le corps de celui qu'on aime à terre baignant dans son sang.... Elle c'était arrêter de jouer et dit:

"Vous voulez que je vous raccompagne à la ville? J'y retourne personnellement. si le cœur vous en dit vous pouvez rester ici. Cette demeure est maudite de toute façon mais je pense que votre race et celle de vos ennemis n'ont peur de rien."

Elle enleva la poussière sur sa robe et prit la lampe à l'huile. Le vampire toujours contre le mur:

"Je n'attends pas de vous un merci, parce que vous ne me remerciez jamais et vous n'avez aucune raison. Sachez juste que si je pouvais j'arrêterais cette guerre ! Vous pouvez rire mais je pense que le sang à assez couler!"

Elle retourna dans le petit salon pour reprendre le couteau et revient dans la salle. Elle le salua de la tête avant de sortir pour aller re seller son cheval

Il saluait sa force d’esprit et son courage. Cette femme aurait pu être une vraie meneuse si la naïveté ne serait pas aussi incrustée. Elle avait un peu le caractère de Dakimis sans toute fois lui ressemblé. Il l’a regarda partir, laissant la porte grande ouverte. Ainsi donc, envoyé des espions ici serait presque inutile, c’était plus un sanctuaire qu’une véritable base. Il la suivit dans son errance jusqu’à la porte extérieur. Heureusement, il faisait encore nuit. Il cligna des yeux sous la lune.

Les humains les avaient presque tout le temps poursuivis, voulant les saigner à mort pour se nourrir. Ne mangeaient-ils pas eux aussi de la viande parfois? Leur idéaux étaient stupides, la peurs régnait en maître dans leur cœur. Qui était le prochain? Cette pensée lui fit frissonner l’échine et sourire sadiquement. Le goût du sang lui manquait, même si cela faisait à peine quelque minute que des animaux furent tués en son honneur. Il n’était pas Louis, il était le grand Lestat de Lioncourt.

Il la regarda partir vers les écuries et pu résister au fait de goûter son sang. Il ne donna pas suite à son discourt inspiré non plus. Son cercueil lui manquait tout aussi bien. Dans l’ombre il se glissa encore pour atteindre sa chambre.

Une fois son cheval seller, elle le sortit et monta dessus. Un rapide coups d'œil autour d'elle : Le vampire n'était plus là. C'était mieux ainsi, restait plus qu'à espérer qu'elle ne rencontre aucun autre vampire. La nuit était belle ce soir, dans a peine 3 heures le soleil ce lèvera, elle fit le tour de sa maison à cheval et alla dans le jardin. La tombe de son père était là, sa mère a coter. Un genou à terre et médita longtemps en regardant les pierres tombales. Gravées dans la pierre, le nom et l'année de naissance ainsi que de la mort de ses parents. La mousse venait à peine de recouvrir celle de son père. Sarah l'entretenait tant bien que mal, mais cette fois-ci elle ne prit pas la peine d'enlever la mousse. Trop soucieuse de rentrer n'ayant pas envie de finir en charpie si les Lycans arrivaient. Elle ce releva mais ne fit pas la croix avec ses mains : elle ne croyait pas en dieu au grand damne de son père ! Elle n'irait sûrement pas au paradis mais où qu'elle aille ça sera mieux que cette vie dans la guerre et la souffrances. Elle remonta à cheval et partit en croisant les doigts pour que personne ne vienne déranger son retour au QG des humains.

[Post finis mon ami? ^_^]