Le beau salon...

Vanïel se promenait dans le manoir en sirotant un verre. Il était suprit du peu d'action dans la demeur du seigneur des vampire. Le jeune homme entra dans un des noumbreux salons. Il était bien décoré et bien propre... rien d'étonant quoi. Il se jeta négligement dans un divan. Le vampire prit une gorgé et se mit à penser au vieux, son maître. Dommage que Vanïel est perdu la trace de cet assassin. Il devait être très bon celui là. Mais il l'aurait un jour de toute façon il avait l'éternité.

-Ne meurt pas je me réserve ce droit.

Il regarda son épé repensant a sa mort... si mort il y avait. Qui était cet homme empalé sou l'épé? Qui était cet femme qui revenait le hanté. D'ou tenait-il ses conaissance en matière de corp humain? Tan de questions et si peu de réponse.

Vanïel était enfouit dans ses pensé quand ariva :

J'avais passé toute la nuit et une bonne partie de la matinée dans mon bureau et m'occuper de papier. J'avais finalement décidé de sortir pour me dégourdir un peu les jambes, et puis j'en avais marre de toute cette paperasse, je ne suis pas un homme de bureau après tout. Après avoir enfilé ma longue cape, cachant ainsi une partie de mon visage, je sortis de mon bureau et je descendis le grand escalier central pour arriver enfin au rez-de-chaussée. Traversant le long couloir, je me dirigeais vers les salons histoire de voir qui s y trouvait. Pas âme qui vive en ces lieux, enfin façon de parler.

*Allons bon, ou sont ils donc tous passés ?*

Je finis par remarquer une personne vautré dans un des divans et je le reconnus de suite. Vanïel, un assassin qui normalement devait être toujours invisible rapport à son métier, mais qui ici ne se souciait guère d'être reconnu. Après tout il se trouvait dans ma demeure, celle des vampires en général, il n'avait donc rien à craindre, mais sa posture me surpris un peu lui qui normalement se tenait droit en ma présence. Enfin cela montrait qu'il ne m'avait pas remarqué. Je me glissais dans le salon cachant ma présence. Finalement je passais prêt de lui me dirigeant vers un buffet pour me servir un verre d'alcool.

"Et bien mon chère Vanïel tu m'as l'air bien pensif, seul en ces lieux."

J'attendis de voir comment il allait réagir.

Vanïel leva les yeux et vit Dracula. Il lança un petit ''bonjour'' et sembla remarquer sa position un peu précaire. Il se leva rapidement et le seigneur des vampires put enfin retrouver le port princier qu'affichait normallement le jeune vampire. Celui-çi fit une petite révérence comme a son habitude tout en tenant son verre bien droit.

-Votre manoir est plutôt calme dites moi.

Il changa ainsi de sujet n'éprovant pas vraiment le besoin de se confier au vampire le plus influent sur terre. Lui qui avait sans doutes bien assez de problèmes à règler pour écouter un jeune vampire se plaindre d'un assassinat et de quelque souvenir.

-Alors comment va le monde?

Comment va le monde... il n'avait rien trouvé de mieux pour parler a cet homme. Pourquoi ne pas parler température aussi! Vanïel se maudit interrieurement. Mais Dracula devait avoir l'habitude. Au près de lui il était toujours un peu sur les nerfs en début de conversation. Après ça passait rapidement.

Le jeune vampire mit un petit moment avant de comprendre en face de qui il se trouvait et finit par se lever me faisant une révérence. Je lui répondis d'un signe de tête.

"Oui en effet, c'est très calme depuis un certain temps, j'espère que cela ne cache rien."

Calme ? Plutôt inexistant, personne dans ce château, aucune attaque de la part des lycans ou encore des humains. Tous ceci était des plus bizarre. Finalement c'est une simple phrase qui me sortit de mes pensée. "Alors comment va le monde ?" Cette phrase était basique mais elle provoqua en moi un rire nerveux. Ce ne fut qu'au bout de quelque minute que je parvins à me calmer essuyant une larme de rire qui avait perlé à mes yeux.

"Je te remercie pour cette rigolade Vanïel, cela m'a fait énormément de bien. Et bien comment va le monde... Voyons, sachant que cela fait presque 300 ans que je n'ai plus mis le pied en dehors de la région londonienne. Mais si je ne me trompe pas le nouveau continent se développe plutôt bien. Cela ne m'étonnerais pas qu'il surpasse, un jour, la puissance du vieux continent."

Après ma phrase je me dirigeais vers un fauteuil pour m'assoir confortablement et je bus une gorgée du vin que je m'étais versé. Vanïel étant toujours debout, je l'invitais à s'assoir.

"Allons allons, ne reste pas debout assied toi."